Chaque soir, Pointe-à-Pître s'endort dans l'obscurité. Les difficultés financières de la ville sont à l’origine de cette situation qui la plonge dans le noir dés la tombée de la nuit. Pourtant, la nouvelle municipalité veut s'inscrire dans une dynamique de progression
Pour le maire de Pointe-à-Pître, pour comprendre le problème de l'éclairage de la sa ville il faut en revenir à son historique. Harry Durimel revient sur la chronologie de ce Partenariat Public Privé entre la société de projet et son partenaire local Xéria et la ville de Pointe- à- Pitre.
Harry Durimel, le maire de Pointe- à-Pitre
Harry Durimel, maire de Pointe- à-Pitre
C’est en effet l’entreprise Xéria, qui avait apporté sa compétence et sa main d’œuvre. Les travaux faisaient même la fierté de ceux qui avaient été à l’ouvrage.
David Sinapah, responsable d’affaire chez Xéria, en charge des travaux de la reconstruction de l’éclairage public de Pointe à Pitre :
David Sinapah, responsable d’affaire chez Xéria
La ville de Pointe- à- Pitre avait signé un Partenariat Public Privé avec la société de Projet S6P-SAS. Cette dernière avait trouvé son partenaire financier, la Société Générale à l’époque.
Aujourd’hui la municipalité veut s’inscrire dans une dynamique de progression, notamment avec l’entreprise chargée des travaux, Xéria, afin d’optimiser l’existant. Mais il souhaite aussi faire toute la lumière sur chaque composante d’un dossier qui selon lui était plombé dès le départ.
Harry Durimel, le maire de Pointe- à-Pitre
Harry Durimel, le maire de Pointe- à-Pitre
L’entreprise Xéria, partenaire en matière d’exécution des travaux a répondu à la demande mais a pourtant subit elle aussi, à son échelle, les difficultés rencontrées par la ville.
David Sinapah, responsable d’affaire chez Xéria, en charge des travaux de la reconstruction de l’éclairage public de Pointe à Pitre :
David Sinapah, responsable d’affaire chez Xéria