Il y a six mois jour pour jour, une famille de six vacanciers originaires du Sud de la France, parmi lesquels 2 enfants, avait trouvé la mort dans l'incendie de l'appartement qu'elle louait dans les hauts de Saint-François. Six mois plus tard, l'enquête piétine.
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Beaucoup d’investigations menées mais pas encore d’avancée significative dans l’enquête, c'est ce que l'on peut constater six mois après l'incendie meurtrier. La question de l’intervention d’un tiers dans le départ de feu avait été évoquée par le procureur quelques jours après la tragédie.
Dix jours après le drame, le procureur de la République Xavier Bonhomme ouvrait une enquête pour homicide involontaire. Selon lui, la piste d'un barbecue mal éteint, évoquée dans les premières heures qui avaient suivi l'incendie, ne pouvait être finalement retenue. Depuis, les locataires qui occupaient le logement d’à côté ont été entendus en garde à vue il y a quelques semaines, sans que cela ne permette d’obtenir d’éléments probants.
L’enquête suit donc son cours, tant sur ce volet autour des causes du drame que sur celui du respect ou non des règles de sécurité à l’intérieur de l’appartement. Au début du mois, l’avocate de la grand-mère, qui dans l’incendie a perdu toute sa descendance (ses deux filles, ses deux gendres et 2 de ses petits fils), était de passage en Guadeloupe pour tenter de faire le point. Elle a expliqué avoir "beaucoup de monde dans son viseur et que tous devront assumer leur responsabilité".
Le drame s’était produit dans la nuit du 29 au 30 octobre dernier. Le feu s’était déclaré a l’entrée du logement. Prise au piège à l’intérieur, la famille n’avait pas pu s’enfuir en raison de l’absence d’autre sorties et de la présence de fenêtres entièrement grillagées. Ils avaient tous été retrouvés rassemblés, asphyxiés par l’épaisse fumée.
Dix jours après le drame, le procureur de la République Xavier Bonhomme ouvrait une enquête pour homicide involontaire. Selon lui, la piste d'un barbecue mal éteint, évoquée dans les premières heures qui avaient suivi l'incendie, ne pouvait être finalement retenue. Depuis, les locataires qui occupaient le logement d’à côté ont été entendus en garde à vue il y a quelques semaines, sans que cela ne permette d’obtenir d’éléments probants.
L’enquête suit donc son cours, tant sur ce volet autour des causes du drame que sur celui du respect ou non des règles de sécurité à l’intérieur de l’appartement. Au début du mois, l’avocate de la grand-mère, qui dans l’incendie a perdu toute sa descendance (ses deux filles, ses deux gendres et 2 de ses petits fils), était de passage en Guadeloupe pour tenter de faire le point. Elle a expliqué avoir "beaucoup de monde dans son viseur et que tous devront assumer leur responsabilité".
Le drame s’était produit dans la nuit du 29 au 30 octobre dernier. Le feu s’était déclaré a l’entrée du logement. Prise au piège à l’intérieur, la famille n’avait pas pu s’enfuir en raison de l’absence d’autre sorties et de la présence de fenêtres entièrement grillagées. Ils avaient tous été retrouvés rassemblés, asphyxiés par l’épaisse fumée.