Les étudiants de Guadeloupe, Saint-Martin, Saint-Barthélemy et Martinique bloqués au Canada à cause de la pandémie du coronavirus rentreront ce samedi. La Région Guadeloupe va affrêter un avion pour les rapatrier.
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Depuis le début de la crise du coronavirus dans le monde, de nombreux étudiants antillais vivant à l'étranger sont rentrés au "péyi". Tous n'ont pas eu cette possibilité. Depuis quelques semaines déjà, ils sont nombreux, au Canada, souhaitant quitter le territoire pour rejoindre leurs îles.
Les 200 étudiants guadeloupéens, saint-martinois, saint-barths et martiniquais bloqués au Canada pourront enfin rentrer chez eux, cette semaine.
Ary Chalus, le président de la Région Guadeloupe a annoncé la décision d'affréter un avion d’Air Caraïbes pour procéder à leur rapatriement.
Etudiants à Montreal, Toronto, Ottawa ou Québec, ils se sont retrouvés coincés lors du confinement décidé dans le pays, le 17 mars dernier. Certains n'ayant aucune solution d'hebergement ont dû se débrouiller pour avoir un toit au dessus de la tête.
Une situation parfois précaire pour certains, d'où cette initiative de la Région Guadeloupe, sensibilisée au problème par des parents inquiets.
Les collectivités de Martinique et Saint-Barth devraient prendre part aux dépenses liés à cet affrètement.
Les 200 étudiants seront donc de retour le samedi 6 juin.
Une initiative régionale
La plupart avaient déjà un billet d'avion retour d'Air Canada, mais, en raison des restrictions de vol, n'avaient autorisation ni de décoller ni d'atterrir en Guadeloupe et en Martinique.Les 200 étudiants guadeloupéens, saint-martinois, saint-barths et martiniquais bloqués au Canada pourront enfin rentrer chez eux, cette semaine.
Ary Chalus, le président de la Région Guadeloupe a annoncé la décision d'affréter un avion d’Air Caraïbes pour procéder à leur rapatriement.
Etudiants à Montreal, Toronto, Ottawa ou Québec, ils se sont retrouvés coincés lors du confinement décidé dans le pays, le 17 mars dernier. Certains n'ayant aucune solution d'hebergement ont dû se débrouiller pour avoir un toit au dessus de la tête.
Une situation parfois précaire pour certains, d'où cette initiative de la Région Guadeloupe, sensibilisée au problème par des parents inquiets.
Les collectivités de Martinique et Saint-Barth devraient prendre part aux dépenses liés à cet affrètement.
Les 200 étudiants seront donc de retour le samedi 6 juin.