Etre présent en Martinique le 22 mai puis en Guadeloupe le 27 mai, pour le président de la Fondation pour la Mémoire de l'Esclavage, c'est habiter pleinement le rôle que la République lui a dévolu.
Pourtant, pour Jean-Marc Ayrault, commémorer ne peut se limiter aux dates prescrite. Cela doit désormais se marier à tous les niveaux de la conscience populaire.
Et peut-être parce que la mémoire est plus large et plus riche qu'on ne le croit, C'est d'abord à la Maison Thôle que Jean-Marc Ayrault s'est rendu. Un lieu qui devrait entrer dans le maillage mémoriel que la Guadeloupe souhaite réaliser .
Un travail que la Fondation pour la Mémoire de l'Esclavage compte accompagner.