Il est 6 heures du matin, le soleil n’est pas encore levé. Une bonne vingtaine de nageurs est déjà bon pied, bon œil, prête à se lancer à l’assaut de vagues. Ils sont de l’association « Les Amis de l’anse Canot ». La bonne humeur est présente, mais le danger guette. Sur le plan d’eau des dizaines de bateaux… essentiellement des voiliers.
Et la cohabitation est difficile. Catherine Comère, membre de l’Adac, l’association des amis de l’anse Canot.
Catherine Comère, membre de l’Adac, l’association des amis de l’anse Canot
Entre amarres, bouts, ancres, visibilité, mais il y a aussi les vidanges diverses, à chaque plongée, le maître-nageur de l’association doit adapter le parcours pour tenir compte de la situation.
Bruno Gisor maître nageur
Les Amis de l’Anse canot ont interpelé les autorités. Mais le dossier traîne.
Aujourd’hui ils demandent que le préfet de région prenne une décision.