La protection de la biodiversité, la prévention aux risques naturels, hydrauliques et environnementaux sont autant de défis à relever et pour lesquels la Région a besoin d'appuis scientifiques et techniques.
Cette collaboration se déclinera dans les domaines tels que la création de valeurs par la structuration de filières d'agro-transformation, les transitions des systèmes et pratiques agricoles mais également la gestion des risques et l'adaptation au changement climatique.
Et c'est sur le terrain que chacun, les agriculteurs en tête, a pu se rendre compte des potentiels déjà étudiés par l'INRAE. Des micro-fermes installées sur le site sont, en quelque sorte, des laboratoires à ciel ouvert de toutes les solutions déjà étudiées par l'Institut.
Ainsi, la mise en valeur du jardin créole traditionnel aura beaucoup intéressé les visiteurs du jour.
Autre expérience, celle de l'apport des animaux de ferme pour se passer de la mécanisation systématique.
Bien sûr, et le Président de Région est le premier a le souligner, l'installation de jeunes agriculteurs suppose d'abord qu'ils disposent de terre à exploiter. Ce qui ne coule pas toujours de source.
Le renforcement du lien entre la Région et L'INRAE via cette convention signée ce jeudi, marque donc l'engagement de la l'INRAE à aider les acteurs publics à faire face à tous ces enjeux.