Les masques sont partout et ce sont les nouveaux déchets. La pollution qu’ils génèrent est un véritable casse-tête car à ce jour, il n'y a pas de recul suffisant pour estimer leur impact sur l’environnement et surtout, le recyclage ne semble pas encore au point.
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Il ressemble à du papier et beaucoup pensent qu’il est biodégradable. Pourtant le masque jetable est confectionné à partir de polypropylène, un dérivé du pétrole.
Pas très écologique comme matière. Et pourtant, il est devenu en quelques mois l’accessoire incontournable, en compétition avec le masque en tissu
Mais les masques sont aussi devenus, au même titre que les emballages, une source de pollution. Alors, que faire de ces masques jetables une fois utilisés ? D'abord, il ne faut surtout pas les jeter par terre.
Jerôme Roch directeur de l’ ADEME
Il n’existe pas encore de filière de recyclage. Alors pour éviter une catastrophe écologique, privilégier le masque en tissu semble la meilleure option, même si rien pour l'instant ne permet de l’affirmer avec certitude.
Jerôme Roch directeur de l’ADEME
Ce chef d’entreprise commercialise depuis de nombreuses années les masques pour les professionnels. Mais c’est un militant écologiste aussi, qui encourage ses clients à s’orienter vers le tissu plutôt que le plastique jetable. Mais il a aussi déniché un nouveau type de masque qui pourrait être la meilleure alternative….
Yann Lemégat, PDG de SOCOMECO
Des solutions émergent pour lutter contre la pollution engendrée par les masques chirurgicaux. Une entreprise française expérimente son recyclage pour fabriquer des visières. Mais privilégier d’autres types de protection peut aussi contribuer à limiter la production de ces nouveaux déchets.
Pas très écologique comme matière. Et pourtant, il est devenu en quelques mois l’accessoire incontournable, en compétition avec le masque en tissu
Jerôme Roch directeur de l’ ADEME
Jerôme Roch directeur de l’ADEME
Yann Lemégat, PDG de SOCOMECO