Six organisations syndicales de l'Education Nationale ont estimé qu'il était ilmportant de donner un écho au mouvement lancé sur le plan national par les syndicats de l'Education.
Un mouvement qui a pris forme progressivement alors que le gouvernement tergiversait quant au dispositif à mettre en oeuvre pour faire face à la montée de la contamination du virus omicron.
Avec plusieurs changements successifs du protocole sanitaire, il n'en fallait pas plus pour susciter la coallition de toutes les colères que le mouvement de grève exprimera ce jeudi.
En Guadeloupe, les organisations syndicales tiennent à la fois à marquer leur solidarité avec le mouvement national, et aussi, à afficher leur différence dans un mouvement local le 20 janvier prochain.
Eddy Ségur, porte-parole de l'intersyndicale de l'Education Nationale
C'est donc un jeudi difficile qui s’annonce dans les écoles, collèges et lycées, prémice d'un mouvement plus amplifié la semaine prochaine. Il devrait alors rassembler aussi bien des enseignants, que des techniciens, des infirmières et peut-être même, des chefs d’établissement et des inspecteurs. Avec le soutien possible des fédération de parents d’élèves.