Une réunion de crise s’est tenue hier en sous-préfecture à Pointe-à-Pitre. Tous les acteurs sont unanimes, il faut agir. L’Etat va débloquer 500 000 euros.Des actions qu'il faut conjuguer avec une meilleure connaissance du phénomène, pour le prévoir au lieu de le subir
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Le dossier de la pollution de nos côtes par les algues sargasses pris à bras le corps par les Services de l’Etat, les mairies, les communautés de communes et d’agglomérations, collectivités majeures, ADEME. Ils se sont réunis hier après-midi en sous-préfecture à Pointe-à-Pitre. Une véritable réunion de crise.
L’Etat va débloquer 500 000 euros pour le ramassage de ces algues brunes qui se décomposent rapidement sur nos plages. Du matériel supplémentaire sera acheté. Mais une fois de plus, l'Etat souhaite que ce soit dans le cadre d'une action commune, portée par tous les niveaux de responsabilité.
En 2015, les collectivités et l'Etat avaient déjà décidé de mutualiser leurs moyens pour mieux faire face à cette crise. Des solutions avaient alors été proposées mais visiblement sans succès
L’Etat va débloquer 500 000 euros pour le ramassage de ces algues brunes qui se décomposent rapidement sur nos plages. Du matériel supplémentaire sera acheté. Mais une fois de plus, l'Etat souhaite que ce soit dans le cadre d'une action commune, portée par tous les niveaux de responsabilité.
En 2015, les collectivités et l'Etat avaient déjà décidé de mutualiser leurs moyens pour mieux faire face à cette crise. Des solutions avaient alors été proposées mais visiblement sans succès
L'avis d'un expert en biologie marine :
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