A Petit-Bourg, les neuf établissements scolaires situés près du littoral sont désormais fermés, à cause des taux élevés de gaz émanant des sargasses, selon les relevés de l’ARS.
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Le maire de la commune, Guy Losbar, a décidé, par arrêté, de fermer les écoles maternelles et élémentaires du centre-bourg et de la pointe à Bacchus, ainsi que le collège Félix Eboué et le lycée des Droits de l’Homme. Et cela, à la suite des résultats des analyses effectuées par l’ARS sur les émanations de gaz d’hydrogène sulfuré émanant des algues échouées sur la côte. Les taux atteignent 6 PPM. Les cours n’étaient déjà plus assurés au collège, où de nombreux enseignants exercent leur droit de retrait, comme l’avaient fait leurs collègues du lycée, du 17 au 24 mai.
Dans un communiqué, le collectif des personnels de ces deux établissements, qui intègre aussi ceux du collège Yssap à Sainte-Anne, demande un ramassage immédiat des sargasses et une délocalisation des examens à venir (brevet et Bac), dont certaines épreuves débutent dès mardi prochain. Au collège de Sainte-Anne, une partie des cours ne sont plus assurés, dans l’attente des conclusions de l’enquête du rectorat.
Une situation qui n'est pas sans conséquence pour la scolarité des élèves, particulièrement pour ceux qui passent des examens cette année.
Dans un communiqué, le collectif des personnels de ces deux établissements, qui intègre aussi ceux du collège Yssap à Sainte-Anne, demande un ramassage immédiat des sargasses et une délocalisation des examens à venir (brevet et Bac), dont certaines épreuves débutent dès mardi prochain. Au collège de Sainte-Anne, une partie des cours ne sont plus assurés, dans l’attente des conclusions de l’enquête du rectorat.
Une situation qui n'est pas sans conséquence pour la scolarité des élèves, particulièrement pour ceux qui passent des examens cette année.
La rédaction télé de Gpe la 1ère vous propose une édition spéciale ce soir à 20h. Elle réunira les principaux acteurs en responsabilité : l’Etat et les collectivités, ainsi que plusieurs intervenants en duplex : médecins, collectifs ou chefs d’entreprises. Une photographie exacte de la situation de crise, à une dizaine de jours avant l’arrivée du ministre de l’Ecologie, Nicolas Hulot, annoncée autour du 10 jui