L’association Guadeloupe Patrimoine et le collectif Poirier lévé de Sainte-Anne demandent l’abandon d’un projet immobilier jugé « surdimensionné ».
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Ils redoutent la dégradation de la nature dans leur quartier de Poirier Sainte-Anne. Des riverains rassemblés en association se sont fait entendre ce matin à la maison Songeons au 339 poirier de Gissac. Leur cible : un chantier immobilier. 250 logements portés par la SEMAG.
Ils craignent pour « la destruction de la Mare Grand Maison », le réseau d’assainissement et le réseau d’eau potable est déjà défaillant et voient difficilement l’arrivée prochaine de 750 à 1000 habitants supplémentaires.
Ces riverains mettent en avant le non-respect des règles de l’urbanisme. Ils affirment que ces « 3 bâtiments culmineront à 10 voir 12 mètres de hauteur ».
Christian Baptiste, maire de Sainte-Anne :
« Une exigence, que les infrastructures existantes et devant supporter la charge de ces nouvelles constructions soient opérationnelles. Ce projet comprenant plusieurs types de logements dont du logement social permettra à la municipalité de pallier le manque de logements sociaux sur son territoire, un manque qui représente 156 000 euros de pénalités par an ».
SEMAG
Laurent Boussin, directeur Général :
« Il ne s’agit pas simplement de construire des logements, c’est un programme d’aménagement de la zone ».
A terme, ce projet devrait comprendre des logements, un centre médical et un aménagement des axes de circulation.
Ils craignent pour « la destruction de la Mare Grand Maison », le réseau d’assainissement et le réseau d’eau potable est déjà défaillant et voient difficilement l’arrivée prochaine de 750 à 1000 habitants supplémentaires.
Ces riverains mettent en avant le non-respect des règles de l’urbanisme. Ils affirment que ces « 3 bâtiments culmineront à 10 voir 12 mètres de hauteur ».
Avis
Municipalité :Christian Baptiste, maire de Sainte-Anne :
« Une exigence, que les infrastructures existantes et devant supporter la charge de ces nouvelles constructions soient opérationnelles. Ce projet comprenant plusieurs types de logements dont du logement social permettra à la municipalité de pallier le manque de logements sociaux sur son territoire, un manque qui représente 156 000 euros de pénalités par an ».
SEMAG
Laurent Boussin, directeur Général :
« Il ne s’agit pas simplement de construire des logements, c’est un programme d’aménagement de la zone ».
A terme, ce projet devrait comprendre des logements, un centre médical et un aménagement des axes de circulation.