C'est en tout cas le voeu affirmé par la Présidente du Département qui a la responsabilité d'organiser le prochain Congrès des élus de Guadeloupe. Josette Borel Lincertin pense que les antagonismes sont désormais apaisé et le débat sur l’évolution institutionnelle peut être lancé.
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La présidente du Conseil départemental a profité de la plénière de l'Assemblée qu'elle préside pour déclarer ce mercredi à Basse-Terre, que les conditions sont maintenant réunies pour proposer un nouvel avenir institutionnel à la Guadeloupe.
L’exécutif départemental ne veut pas se voir imposer un projet par Paris, dans le cadre de la réforme institutionnelle.
Il faut donc proposer des solutions aux différents problèmes que rencontrent les Guadeloupéens.
Dès la fin juin, un congrès des élus départementaux et régionaux et des parlementaires va se tenir. Un nouveau tremplin pour discuter sérieusement de cette évolution.
La question de l’évolution institutionnelle divise depuis tantôt la classe politique guadeloupéenne. Mais c’est aussi cette même classe politique qui réclame depuis plusieurs mois la tenue de ce Congrès. Aujourd’hui les Guadeloupéens sont-ils prêts, à discuter, échanger, et emprunter la voie de la responsabilité ? La question reste posée. En tous cas, Josette Borel Lincertin présidente du Congrès ouvre le champ des possibles.
L’exécutif départemental ne veut pas se voir imposer un projet par Paris, dans le cadre de la réforme institutionnelle.
Il faut donc proposer des solutions aux différents problèmes que rencontrent les Guadeloupéens.
Dès la fin juin, un congrès des élus départementaux et régionaux et des parlementaires va se tenir. Un nouveau tremplin pour discuter sérieusement de cette évolution.
Olivier Lancien Guadeloupe La 1ère