Plusieurs communes de la Communauté d'Agglomération du Nord Basse-Terre croulent sous les ordures ménagères non ramassées et les administrés aujourd'hui, veulent être entendus par les responsables pour que cela cesse
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Des sacs d'ordures qui se succèdent d'une commune à l'autre et des montagnes de déchets qui obstruent progressivement la vue des riverains, un paysage auquel les administrés du Nord Basse-Terre ont du mal à se faire.
Et pour certains, en l'absence de local pour les poubelles, les ordures jonchent le sol en attendant d'être éventuellement ramassées.
Et c'est là qu'intervient le noeud du problème dans les résidences qui en sont victimes. Les éboueurs ne ramassent pas ce qui est au sol, et les bailleurs des ces résidences, n'ont pas encore forcément achevé des locaux à poubelles, accessibles seulement depuis l'intérieur des résidences, de façon à éviter que les personnes de l'extérieur viennent y jeter leurs poubelles comme c'est le cas actuellement.
Sans ces boxes, la CANBT préfère ne pas disposer de nouvelles poubelles afin d'éviter les vols et dégradations.
Et au milieu de ce cercle vicieux où chacun se renvoit la balle, les riverains eux expriment leur ras-le-bol Selon nos sources, l'entreprise chargée de réaliser les locaux précisément dans ces résidences de la Boucan à Sainte- Rose, ne les a pas encore achevé. Dans un contexte de reprise post covid, elle concentrerait son activité auprès des clients "à jour de leurs paiements". Ce qui ne serait pas le cas ici, du bailleur, la SEMAG.
Du coup, pas de locaux, donc pas de bacs.
Pour sa part, la CANBT fait savoir qu'elle recherche des solutions palliatives. Jocelyn Sapotille son président, explique sa position sur les réseaux sociaux.Une situation qui pourrait sembler ubuesque si elle n'était pas le quotidien de plusieurs centaines de personnes qui aimeraient bien changer d'horizon
Et pour certains, en l'absence de local pour les poubelles, les ordures jonchent le sol en attendant d'être éventuellement ramassées.
Et c'est là qu'intervient le noeud du problème dans les résidences qui en sont victimes. Les éboueurs ne ramassent pas ce qui est au sol, et les bailleurs des ces résidences, n'ont pas encore forcément achevé des locaux à poubelles, accessibles seulement depuis l'intérieur des résidences, de façon à éviter que les personnes de l'extérieur viennent y jeter leurs poubelles comme c'est le cas actuellement.
Sans ces boxes, la CANBT préfère ne pas disposer de nouvelles poubelles afin d'éviter les vols et dégradations.
Et au milieu de ce cercle vicieux où chacun se renvoit la balle, les riverains eux expriment leur ras-le-bol Selon nos sources, l'entreprise chargée de réaliser les locaux précisément dans ces résidences de la Boucan à Sainte- Rose, ne les a pas encore achevé. Dans un contexte de reprise post covid, elle concentrerait son activité auprès des clients "à jour de leurs paiements". Ce qui ne serait pas le cas ici, du bailleur, la SEMAG.
Du coup, pas de locaux, donc pas de bacs.
Pour sa part, la CANBT fait savoir qu'elle recherche des solutions palliatives. Jocelyn Sapotille son président, explique sa position sur les réseaux sociaux.Une situation qui pourrait sembler ubuesque si elle n'était pas le quotidien de plusieurs centaines de personnes qui aimeraient bien changer d'horizon