Des mains baladeuses, des invitations à l’hôtel, contre la promesse d’une carrière politique accélérée… Les pratiques de harcèlement sexuel dans le milieu des élus seraient courantes chez nous aussi. Mais les femmes victimes n’osent pas les dénoncer.
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Il faut en finir avec l’impunité des élus politiques coutumiers des gestes déplacés ou des remarques sexistes envers les femmes. C’est ce que disent des politiques de tous bords, après l’affaire Denis Baupin (le député écologiste accusé par plusieurs élues femmes, d’agressions sexuelles et de harcèlement). Des pratiques courantes chez nous aussi, à en croire notamment l’association « Elues contre les violences faites aux femmes », qui relate de nombreux témoignages en ce sens : mains baladeuses, remarques flatteuses sur certaines parties de leur corps, invitations à l’hôtel, contre la promesse d’une accélération de la carrière politique... Pourtant, ces femmes élues victimes ont du mal à sortir du silence et à porter plainte.
Anabella Crane, membre de cette association,
Anabella Crane, membre de cette association,
Anabella Crane, membre de cette association,
Anabella Crane, membre de cette association,
Alors comment expliquer cette tolérance tacite dans l’hexagone et peut être encore plus chez nous ? Notre culture, mais aussi l’influence sociologique locale peuvent permettre de comprendre ces phénomènes d’acceptation… Stéphane Hélène, psychologue,
Stéphane Hélène, psychologue,
Stéphane Hélène, psychologue 2