Particulièrement réglementée en Guadeloupe, la pêche des lambis est ouverte du 1er octobre 2017 au 31 janvier 2018. Mais d'ores et déjà, la Préfecture annonce que les services de l’Etat seront mobilisés pour faire respecter la réglementation
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Particulièrement réglementée, la pêche aux lambis ne dure que quatre mois. Durant ce laps de temps, les pêcheurs professionnels déclarés à la Direction de la mer, seuls habilités à pratiquer cette pêche, sont souvent confrontés aux braconniers. Et les différents points de la réglementation sont loin d'être respectés.
Au nombre de ces points on peut citer ceux-ci :
- L'animal pêché doit avoir un poids en chair nettoyée de 250 grammes au minimum par individu.
- La pêche ne peut pas s’effectuer au-delà de 25 mètres de fond et l’utilisation de tout équipement respiratoire est proscrit.
- La pêche au lambi est interdite aux pêcheurs plaisanciers et à pied, en tout temps et en tous lieux.
La direction de la Mer de Guadeloupe mettra en oeuvre un dispositif dédié pour arrêter et sanctionner les contrevenants.
Par ailleurs, les restaurateurs, les mareyeurs, mais aussi tous les professionnels de la filière, doivent désormais être en mesure de présenter aux consommateurs des étiquettes réglementaires et de fournir aux contrôleurs tous les documents participant à la traçabilité de ce produit de la mer particulièrement apprécié chez nous.
Enfin, qu’il s’agisse de la pêche illégale du lambi ou de la détention illégale de ce coquillage, les contrevenants s'exposent à des amendes administratives et des sanctions pénales qui peuvent aller jusqu'à 22 500 € et six mois d’emprisonnement.
Au nombre de ces points on peut citer ceux-ci :
- L'animal pêché doit avoir un poids en chair nettoyée de 250 grammes au minimum par individu.
- La pêche ne peut pas s’effectuer au-delà de 25 mètres de fond et l’utilisation de tout équipement respiratoire est proscrit.
- La pêche au lambi est interdite aux pêcheurs plaisanciers et à pied, en tout temps et en tous lieux.
La direction de la Mer de Guadeloupe mettra en oeuvre un dispositif dédié pour arrêter et sanctionner les contrevenants.
Par ailleurs, les restaurateurs, les mareyeurs, mais aussi tous les professionnels de la filière, doivent désormais être en mesure de présenter aux consommateurs des étiquettes réglementaires et de fournir aux contrôleurs tous les documents participant à la traçabilité de ce produit de la mer particulièrement apprécié chez nous.
Enfin, qu’il s’agisse de la pêche illégale du lambi ou de la détention illégale de ce coquillage, les contrevenants s'exposent à des amendes administratives et des sanctions pénales qui peuvent aller jusqu'à 22 500 € et six mois d’emprisonnement.