Le bruit avait déjà fait réagir le président de la Région ce mercredi et ce jeudi, c'est au tour de son prédécesseur de s'émouvoir de l'intention affichée de l'ARS de différer l'achat d'un second Tepscan. L'ARS se défend de toute intention de le supprimer de son Plan Régional de Santé
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Entre inquiétudes, interrogations, et interventions politiques, la question du Cyclotron revient dans l'actualité. Son développement serait menacé suite à une décision qui, si elle est confirmée serait surprenante. Il se murmure que le deuxième tepscan prévu sur le site des Abymes serait supprimé du Plan Régional de Santé.
L’affaire a pris une tournure politique avec les reactions de Victorin Lurel et Ary Chalus. Tous deux s’inquiétant de la disparition de cet outil de santé qui avait fortement mobilisé l’opinion publique.
Dans un communiqué, l’ARS répond que ce projet n’a pas été supprimé mais suspendu et ceci pour deux raisons :
- la sous utilisation pour le moment du tepscan sur notre territoire
- la nécessité de se concentrer sur la mise à disposition immédiate de 4 scanners classiques.
L'ARS poursuit en disant que l’implantation d’un 2ème tepscan reste possible jusqu’en 2023, date d’échéance du plan régional de santé.
Pas sur que cet argument rassure la population, les professionnels et la classe politique.
L’affaire a pris une tournure politique avec les reactions de Victorin Lurel et Ary Chalus. Tous deux s’inquiétant de la disparition de cet outil de santé qui avait fortement mobilisé l’opinion publique.
Communiqué de presse de Victorin Lurel Sénateur de Guadeloupe
Une option possible jusqu'en 2023, selon l'ARS
Le cancer reste un fléau en Guadeloupe avec de nombreux décès chaque année. Alors le développement du Cyclotron est-il aujourd’hui compromis ? Y aura-t-il ou pas un 2eme Tescan ?Dans un communiqué, l’ARS répond que ce projet n’a pas été supprimé mais suspendu et ceci pour deux raisons :
- la sous utilisation pour le moment du tepscan sur notre territoire
- la nécessité de se concentrer sur la mise à disposition immédiate de 4 scanners classiques.
L'ARS poursuit en disant que l’implantation d’un 2ème tepscan reste possible jusqu’en 2023, date d’échéance du plan régional de santé.
Pas sur que cet argument rassure la population, les professionnels et la classe politique.