Ce sont des chercheurs du CNRS, de l’Université d’Aix Marseille et de l’INSERM qui viennent de publier leur découverte sur la dangerosité de la molécule. Ingérée à faible dose, si elle parvient à pénétrer l’ADN, elle peut favoriser l’apparition d’un cancer.
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L’ADN est composé de gènes. Chaque gène est une brique de la Vie. Elle a un rôle particulier dans la composition de l’organisme humain et si un gène est dérangé, il peut faire n’importe quoi, comme favoriser l’apparition d’un cancer. Ce qui peut déranger un gène existe : c’est la molécule de chlordeconne.
Bien sûr il faut des conditions bien précises pour qu’une molécule de chloredeconne arrive à pénétrer l’ADN entouré de couches épaisses de protéines protectrices mais cela pourrait se faire.
C’est ce qu’ont découvert des scientifiques. La Chloredeconne est vraiment une molécule tueuse mais pas chez les humains, chez des animaux marins…
Bien sûr il faut des conditions bien précises pour qu’une molécule de chloredeconne arrive à pénétrer l’ADN entouré de couches épaisses de protéines protectrices mais cela pourrait se faire.
C’est ce qu’ont découvert des scientifiques. La Chloredeconne est vraiment une molécule tueuse mais pas chez les humains, chez des animaux marins…
Ronan Ponnet Guadeloupe la 1ère