« Le Mas de Voukoum, ou la genèse d’un rite oublié : un dispositif rituel de transformation des corps et des esprits au cœur du carnaval guadeloupéen ». Une thèse soutenue en décembre 2021 à l’EHESS, l’école des hautes études en sciences sociales.
Elle a notamment travaillé avec les précieux conseils de Jean-Pierre Sainton.
Sa thèse, brillamment soutenue, a été remarquée par la fondation pour la mémoire de l’esclavage.
En 2023, elle se voit décerner le prix de la thèse. Un prix de la thèse qui porte désormais le nom de Jean-Pierre Sainton, depuis la disparition du professeur des universités.
La chercheuse s’est d’abord intéressée aux fondements du Mas Guadeloupéen. Une spécificité locale qui prend ses racines des mouvements de luttes syndicales des années 1970. Cela va plus loin, jusqu’à la transcendance des membres.
La jeune femme est aussi une artiste peintre qui défraye la chronique avec ses tableaux de bleu sombre et de doré.
Une autodidacte de l’art, véritable touche-à-tout, elle est aussi agrégée d’espagnol. Aujourd’hui, elle veut aller plus loin dans ses recherches sur le Mas Guadeloupéen.
Ecoutez le podcast rencontre 1ère : https://la1ere.francetvinfo.fr/guadeloupe/programme-audio/rencontre-1ere-1b69425c-615a-4383-824a-0987478c3e90/