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C'est cet après-midi que le surveillant pénitentiaire soupçonné d'infraction à la législation sur les stupéfiants, mais aussi de corruption passive et active, comparaissait devant le Tribunal de Pointe-à-Pître. Avec lui, dans le boxe des accusés, un détenu et un fournisseur supposés être ses complices.
L'examen de l'affaire a été renvoyé au 23 octobre prochain. Les trois individus sont poursuivis pour infraction à la législation sur les stupéfiants, mais aussi corruption active et passive. Ils risquent 10 ans d’emprisonnement et de fortes amendes. Le juge des libertés a placé en détention provisoire l’agent en question. Le prisonnier lui, reste incarcéré. Quant au fournisseur présumé, il a été placé sous contrôle judiciaire.
Une décision qui n'est pas sans poser problème puisque, la législation prévoit de ne pas incarcérer un surveillant sur le lieu même de son affectation et d'autre part, la prison de Basse-Terre ne disposant pas de quartier d'isolement, l'homme pourrait être envoyé en Martinique ou en Guyane, en attendant son retour devant la justice.
L'examen de l'affaire a été renvoyé au 23 octobre prochain. Les trois individus sont poursuivis pour infraction à la législation sur les stupéfiants, mais aussi corruption active et passive. Ils risquent 10 ans d’emprisonnement et de fortes amendes. Le juge des libertés a placé en détention provisoire l’agent en question. Le prisonnier lui, reste incarcéré. Quant au fournisseur présumé, il a été placé sous contrôle judiciaire.
Une décision qui n'est pas sans poser problème puisque, la législation prévoit de ne pas incarcérer un surveillant sur le lieu même de son affectation et d'autre part, la prison de Basse-Terre ne disposant pas de quartier d'isolement, l'homme pourrait être envoyé en Martinique ou en Guyane, en attendant son retour devant la justice.