C'est une visite au pas de charge que va entamer Sébastien Lecornu, en Guadeloupe, dans l'après-midi. Le ministre des Outre-mer est attendu vers 15 heures30, dans l'archipel, après une première étape en Martinique.
Sébastien Lecornu arrivera ce jeudi 31 décembre, à l’aéroport Pôle Caraïbes, vers 15h30. Le ministre des Outre-mer est depuis hier, mercredi 30 décembre en Martinique. Sa visite est destinée à faire le point sur la gestion de la crise sanitaire et sur les mesures prises pour contrôler la circulation du virus, dans le contexte de la reprise de la saison touristique, aux Antilles.
Un emploi du temps chargé
C'est une visite express que s'apprête à réaliser le ministre dans le département. Dès son arrivée dans l'après-midi, plusieurs temps d'échanges sont prévus au programme. Après un temps républicain à la Préfecture à Basse-Terre, le premier arrêt se fera à la caserne de gendarmerie de Baie-Mahault.
Puis, direction le centre hospitalier universitaire de la Guadeloupe, en début de soirée, à la rencontre des intervenants du SAMU. Le CHU qui a dû compter sur le renfort de la Réserve sanitaire pour la prise en charge des malades Covid, au plus fort de la crise.
Sébastien Lecornu s'entretiendra également avec les fonctionnaires de police avec qui un temps d'échange est prévu dans le programme, puis avec les pompiers. Le ministre devrait également se rendre sur des lieux de contrôles, durant la nuit de la Saint-Sylvestre.
Pour ensuite s'envoler vers Saint-Barthélemy, vendredi.
Première étape, la Martinique
Un emploi du temps serré, comme en Martinique où il est arrivé en fin d'après-midi, mercredi 30 décembre. Il s'est immédiatement rendu à la Caisse générale de sécurité sociale où il a pu découvrir la cellule "contact tracing", qui permet de retracer le parcours des personnes atteintes de la Covid-19, afin d'identifier et retrouver les cas contacts.
Ce jeudi 31 décembre, après un dépôt de gerbes aux monuments aux morts de Fort-de-France, il a pris la direction de Sainte-Marie, dans l'est de l'île, pour rencontrer les sinistrés des intempéries du mois de novembre.