Les quatre voleurs de cabris, présentés en comparution immédiate au tribunal de Pointe-à-Pitre, ce lundi, ont été condamnés à des peines de sursis. En revanche, la demande de dommages et intérêts de l'INRAE, propriétaire des bêtes, sera étudiée en février prochain.
Ce n'est que partie remise, pour l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (INRAE) Antilles Guyane. L'organisme public espérait des sanctions pécuniaires exemplaires, à l'encontre des voleurs de près de 60 cabris, sur son site de Gardel, à Moule, entre les mois de janvier et février 2020.
Mais un renvoi a été demandé, lors de la procédure en comparution immédiate, qui s'est tenue dans la matinée de ce lundi 07 septembre 2020, au tribunal de Pointe-à-Pitre... mais uniquement concernant la demande de dommages et intérêts. Ce volet de l'affaire sera débattu en février 2021.
En revanche, les quatre individus, appréhendés presque en flagrant délit, ont reconnu leur culpabilité, dès leur interpellation. Ils ont écopé, aujourd'hui, de peines avec sursis.
Le préjudice de ces vols à répétition est multiple : il est tant financier, que scientifique et impacte toute la filière d'élevage, ainsi que les consommateurs guadeloupéens, comme l'explique Maitre Cosima Ouhioun, avocate de l’INRAE, au micro de Laetitia Broulhet et Ludovic Gaydu :
Pour mieux comprendre le préjudice subi par l'INRAE, suite à ces vols d'animaux, nous vous invitons à consulter cet article :
Mais un renvoi a été demandé, lors de la procédure en comparution immédiate, qui s'est tenue dans la matinée de ce lundi 07 septembre 2020, au tribunal de Pointe-à-Pitre... mais uniquement concernant la demande de dommages et intérêts. Ce volet de l'affaire sera débattu en février 2021.
En revanche, les quatre individus, appréhendés presque en flagrant délit, ont reconnu leur culpabilité, dès leur interpellation. Ils ont écopé, aujourd'hui, de peines avec sursis.
Le préjudice de ces vols à répétition est multiple : il est tant financier, que scientifique et impacte toute la filière d'élevage, ainsi que les consommateurs guadeloupéens, comme l'explique Maitre Cosima Ouhioun, avocate de l’INRAE, au micro de Laetitia Broulhet et Ludovic Gaydu :