Comme chaque chaque année, des centaines de personnes vont se rendre aujourd'hui à Cacao pour la fête du ramboutan.
En 2014, les amoureux du fruit avaient envahi en masse, les vergers des agriculteurs hmongs.
En 2014, les amoureux du fruit avaient envahi en masse, les vergers des agriculteurs hmongs.
Comme chaque année, la fête du ramboutan déplace les foules vers Cacao. Petit fruit rouge et chevelu, le ramboutan introduit en Guyane en 1977 par un laotien est devenu un incontournable des fruitiers guyanais. Le jour de la cueillette annuelle ouvert à tous est aussi une tradition très courue.
Ils étaient des centaines ce dimanche à se rendre entre amis ou en famille à Cacao pour la fête du ramboutan. Cueillir soi-même ses fruits, les déguster sur place et les acheter 90 centimes le kilo, un moment d'échange, de découverte et de dégustation pour lequel la population ne boude pas son plaisir.
Ce petit fruit recouvert d'une écorce rouge chevelue appartient à la famille des litchis et autres longanes. Marc Yavathay arrivé en Guyane en 1977 a été le premier à le cultiver. Le ramboutan ou de son nom scientifique néphélium lappaceum possède de nombreuses vertus nutritives mais il est principalement apprécié pour son goût raffiné et sucré. Cultivé partout en Guyane et principalement par les hmongs à Cacao, Javouhay, Iracoubo et Corossony de Régina, le ramboutan inonde les étals des marchés entre janvier et mai. Si la production de 2012 a été médiocre celle de 2013 semble bien meilleure.
La Guyane et la Thaïlande sont actuellement les plus gros producteurs de ce fruit dont le prix peut atteindre au marché de Rungis en France, 19 euros le kilo.
Ils étaient des centaines ce dimanche à se rendre entre amis ou en famille à Cacao pour la fête du ramboutan. Cueillir soi-même ses fruits, les déguster sur place et les acheter 90 centimes le kilo, un moment d'échange, de découverte et de dégustation pour lequel la population ne boude pas son plaisir.
Ce petit fruit recouvert d'une écorce rouge chevelue appartient à la famille des litchis et autres longanes. Marc Yavathay arrivé en Guyane en 1977 a été le premier à le cultiver. Le ramboutan ou de son nom scientifique néphélium lappaceum possède de nombreuses vertus nutritives mais il est principalement apprécié pour son goût raffiné et sucré. Cultivé partout en Guyane et principalement par les hmongs à Cacao, Javouhay, Iracoubo et Corossony de Régina, le ramboutan inonde les étals des marchés entre janvier et mai. Si la production de 2012 a été médiocre celle de 2013 semble bien meilleure.
La Guyane et la Thaïlande sont actuellement les plus gros producteurs de ce fruit dont le prix peut atteindre au marché de Rungis en France, 19 euros le kilo.