Après deux semaines de grève à l’université, le préfet, le recteur, la région, la CACL, le Crous et la police se sont réunis hier après-midi avec les représentants des étudiants et de l’intersyndicale. Des propositions concrètes ont été mises sur la table.
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Les autorités ont fait hier des propositions concrètes pour améliorer la vie à l’université, mais elles n’ont pas convaincu les grévistes qui finalement poursuivent leur mouvement.
Parmi ces propositions : l'ouverture immédiate de la bibliothèque, une desserte de transport allongée jusqu'à 21h 00, l'amélioration du système de restauration (livraison de repas dans un local aménagé), un renforcement de la sécurité à conventionner avec les responsables de l'université et l'utilisation des équipements sportifs du conseil général.
Des propositions qui améliorent la vie des étudiants mais qui n'ont pas conduit le collectif des étudiants à signer le protocole
Après cette réunion, plus de 200 personnes ont formé une « chaîne humaine » sur la place des Palmistes, en soutien à la grève de l’université…
Une « chaîne de la solidarité » qui a aussi donné lieu à des discours, dont celui remarqué de Micheline Pindard, membre du bureau du syndicat SGEN CDTG. Pour cette syndicaliste, il ne faut pas se cacher derrière son petit doigt, la revendication d’une université de plein exercice doit maintenant s’afficher clairement comme la priorité du mouvement.
Le reportage de Nikerson Perdius
Parmi ces propositions : l'ouverture immédiate de la bibliothèque, une desserte de transport allongée jusqu'à 21h 00, l'amélioration du système de restauration (livraison de repas dans un local aménagé), un renforcement de la sécurité à conventionner avec les responsables de l'université et l'utilisation des équipements sportifs du conseil général.
Des propositions qui améliorent la vie des étudiants mais qui n'ont pas conduit le collectif des étudiants à signer le protocole
Une chaîne de solidarité de 200 personnes
Après cette réunion, plus de 200 personnes ont formé une « chaîne humaine » sur la place des Palmistes, en soutien à la grève de l’université…Une « chaîne de la solidarité » qui a aussi donné lieu à des discours, dont celui remarqué de Micheline Pindard, membre du bureau du syndicat SGEN CDTG. Pour cette syndicaliste, il ne faut pas se cacher derrière son petit doigt, la revendication d’une université de plein exercice doit maintenant s’afficher clairement comme la priorité du mouvement.
Le reportage de Nikerson Perdius