C’est par un courrier adressé au comité administratif que Patricia Saïd a présenté sa démission. L’ex secrétaire générale de la centrale UTG ne serait pas la seule à démissionner. Quatre des sept membres du bureau élus au Congrès comme elle auraient pris la même décision.
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Quelles sont les raisons qui ont poussé Patricia Saïd à prendre cette décision ?
« Je dénonce les obstacles mis sur ma route pour m’empêcher de redresser la situation de la Centrale », indique Patricia Saïd dans sa lettre de démission. Elle met notamment en cause Apa-Moumia-Makéba (Benoit Béchet) avec qui les rapports sont visiblement très difficiles, « lui qui n’a aucun mandat OFFICIEL, se permet de prendre OFFICIELLEMENT à témoins les militants pour me disqualifier publiquement », écrit-elle.
« Je n’accepte pas de cautionner les dysfonctionnements provoqués par certaines personnes, dont les plus virulentes sont celles qui n’ont aucune légitimité au sens des statuts de l’UTG. Il faut dire que les changements que nous avons portés remettent en causes des privilèges qu’elles se sont octroyés », fustige encore la secrétaire générale démissionnaire.
Autres raisons dénoncées dans cette affaire: l’absence de congrès de l’union locale de Cayenne, l’utilisation sans autorisation de la logistique et du matériel de la centrale par des personnes non mandatées, et enfin des pratiques irrégulières selon elle lors des élections professionnelles à Ecomax.
« Je dénonce les obstacles mis sur ma route pour m’empêcher de redresser la situation de la Centrale », indique Patricia Saïd dans sa lettre de démission. Elle met notamment en cause Apa-Moumia-Makéba (Benoit Béchet) avec qui les rapports sont visiblement très difficiles, « lui qui n’a aucun mandat OFFICIEL, se permet de prendre OFFICIELLEMENT à témoins les militants pour me disqualifier publiquement », écrit-elle.
« Je n’accepte pas de cautionner les dysfonctionnements provoqués par certaines personnes, dont les plus virulentes sont celles qui n’ont aucune légitimité au sens des statuts de l’UTG. Il faut dire que les changements que nous avons portés remettent en causes des privilèges qu’elles se sont octroyés », fustige encore la secrétaire générale démissionnaire.
Toujours à l'UTG Santé à l'hôpital de Cayenne
Pour autant, Patricia Saïd ne quitte pas l’UTG. Elle garde son poste de secrétaire générale du syndicat UTG Santé à l’hôpital de Cayenne, et elle précise qu’elle reste à la disposition des militants pour poursuivre le combat pour le respect des droits des travailleurs.Autres raisons dénoncées dans cette affaire: l’absence de congrès de l’union locale de Cayenne, l’utilisation sans autorisation de la logistique et du matériel de la centrale par des personnes non mandatées, et enfin des pratiques irrégulières selon elle lors des élections professionnelles à Ecomax.