Au lendemain de la victoire (3-1) du Brésil face à la Croatie pour le match d’ouverture de la Coupe du Monde 2014, force est de constater que cela aurait pu mal se terminer pour les hommes de Luiz Felipe Scolari. Décryptage par les internautes de Guyane1ère.
Alors que Marcelo avait ouvert le score pour les Croates d’un but contre-son-camp (11
ème), Neymar a redonné espoir à tout un peuple en égalisant d’une frappe à raz de terre (29
ème) avant de convertir un penalty sur une faute présumée sur Fred (71
ème). Virevoltant tout au long de la partie, Oscar a marqué le but du break d’un astucieux pointu dans les arrêts de jeu.
Au total, le score final ne reflète pas la physionomie du match. Les internautes de Guyane1ère décryptent la performance brésilienne.
« Le Brésil a joué à douze »
Pour la plupart acquis à la cause brésilienne, les internautes de Guyane1ère s’interrogent sur l’arbitrage de M. Yuichi Nishimura. Alors que la Croatie crie au scandale par la voix de son défenseur central Dejan Lovren
(« C’est un scandale, pour le foot et pour la FIFA, les Brésiliens ont joué à 12 »), plusieurs internautes emboîtent le pas du défenseur de Southampton. Pour
Merguez Johno’Zeer, pas de doute : « le Brésil a joué à 12 ». Même son de cloche pour
Dali Betty Velaye, pour qui « Les matchs sont achetés, à tous les coups le Brésil va gagner et remporter cette Coupe du Monde ».
Un match équilibré, une Croatie au niveau
Au-delà du débat sur l’arbitrage, d’autres internautes de Guyane1ère préfèrent retenir le jeu pratiqué par les deux équipes. Pour
Sousa Ildemar , la physionomie du match n’est pas surprenante : « Depuis le match de préparation très dur contre la Serbie, le Brésil s’attendait à une équipe croate aussi forte que son homologue […] On a vu un match équilibré, lequel a inquiété pas mal de cœurs brésiliens ».
Manuel Jean-Baptiste rallie ce point de vue : « Match difficile pour le Brésil avec les trois points au bout, non pas face à une équipe faible ».
Le Brésil reste redoutable
Alors que le Brésil est le grandissime favori de cette Coupe du Monde, la performance en demi-teinte des hommes de Luiz Felipe Scolari remet-elle en cause ce statut ? Pas sûr, selon
Pierre Caberia, qui prévient : « A chaque fois que le Brésil galère, ils sont redoutables ». Les adversaires des Brésiliens sont prévenus.