C’est un coup de tonnerre. Championne du monde en titre, l’Espagne sort de la Coupe du Monde dès le premier tour après deux défaites face aux Pays-Bas (1-5) et le Chili (0-2). Décryptage par les internautes de Guyane1ère.
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Après l’Italie (1950 et 2010), le Brésil (1966) et la France (2002), l’Espagne devient la quatrième nation tenante du titre à sortir dès le 1er tour de la Coupe du Monde, à l'issue de sa défaite face au Chili (0-2).
Profitant d'un cafouillage de la défense ibère, Eduardo Vargas (20ème) refroidit la sélection de Vicente Del Bosque, avant qu’Aranguiz (43ème) vienne définitivement éteindre les espoirs de l’Espagne. Stérile, à l’image de son avant-centre Diego Costa, la Roja est éliminée de la Coupe du Monde dès son deuxième match.
D’autres mettent en relief la bonne tenue des équipes sud-américaines. Merguez Johno’Zeer remarque notamment qu’il ne « faut pas sous-estimer le Chili ».Yanouana Tapoka laisse parler sa jouer : « Amérique du Sud représente ! »
Péquin Dalva note l’âge des joueurs de la Roja : « L’Espagne est venue avec des joueurs de plus de 25 ans : ça compte beaucoup l’âge des hommes ». Avec une moyenne d’âge de 28,2 ans, la sélection espagnole pointe en effet au 8ème rang des sélections les plus âgées du Mondial.
Irrésistible pendant six ans, une certaine idée du football s’est éteinte hier. Pudique, Rody Becks rappelle : « En 2002, c’était nous, alors silence… »
Profitant d'un cafouillage de la défense ibère, Eduardo Vargas (20ème) refroidit la sélection de Vicente Del Bosque, avant qu’Aranguiz (43ème) vienne définitivement éteindre les espoirs de l’Espagne. Stérile, à l’image de son avant-centre Diego Costa, la Roja est éliminée de la Coupe du Monde dès son deuxième match.
« À la maison les champions ! »
Entre fierté sud-américaine et critiques de la sélection espagnole, les internautes de Guyane1ère prononcent des analyses contrastées. À l’instar de Delhanno Benn, certains savourent cette fin de règne : « À la maison les champions ! ». Même son de cloche pour Ronald Badi : « Quel kif ! »D’autres mettent en relief la bonne tenue des équipes sud-américaines. Merguez Johno’Zeer remarque notamment qu’il ne « faut pas sous-estimer le Chili ».Yanouana Tapoka laisse parler sa jouer : « Amérique du Sud représente ! »
« Voilà ce que l’on appelle un coaching borné »
Amers, plusieurs internautes esquissent les explications de la débâcle espagnole. Pour Gilles Linyon, Vicente Del Bosque a sa part de responsabilité : « Voilà ce que l’on appelle un coaching borné : quitte à perdre, bossez avec la génération future ! La saturation des Espagnols était prévisible : plus de quinze ans à jouer ensemble, ça use. »Péquin Dalva note l’âge des joueurs de la Roja : « L’Espagne est venue avec des joueurs de plus de 25 ans : ça compte beaucoup l’âge des hommes ». Avec une moyenne d’âge de 28,2 ans, la sélection espagnole pointe en effet au 8ème rang des sélections les plus âgées du Mondial.
Irrésistible pendant six ans, une certaine idée du football s’est éteinte hier. Pudique, Rody Becks rappelle : « En 2002, c’était nous, alors silence… »