C'est une affaire qui embarrasse fortement la police nationale. Depuis deux jours une vidéo tourne sur les réseaux sociaux. Il s'agit de l'interrogatoire d'une victime d'agression le week-end dernier. Selon les premiers éléments, la fuite vient d'un des agents du commissariat.
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L'histoire commence dans la nuit de samedi à dimanche. Une bagarre démarre devant un bar de la crique et un homme reçoit des plombs. Il est est légèrement blessé à la tête. Ses agresseurs sont arrêtés en flagrant délit : juste après les faits, une patrouille de la BAC (Brigade Anti Criminalité) identifie les auteurs grâce à la vidéo surveillance et deux hommes sont placés en garde à vue.
La victime est auditionnée à l'hôpital et pour les besoins de l'enquête, l'entretien est filmé par les fonctionnaires de police. Jusque là rien que de très banal.
L'un des fonctionnaires bascule ensuite la vidéo sur un serveur interne du commissariat, toujours pour les besoins de l'enquête. Et c'est de là que vient la fuite. Un agent indélicat prend la vidéo et la diffuse sur les réseaux sociaux.
Joint par nos soins, le directeur de la police départementale dit vouloir faire toute la lumière sur cette affaire. L'agent "diffuseur" de la vidéo a enfreint le secret professionnel. il risque une lourde sanction disciplinaire.
La victime est auditionnée à l'hôpital et pour les besoins de l'enquête, l'entretien est filmé par les fonctionnaires de police. Jusque là rien que de très banal.
L'un des fonctionnaires bascule ensuite la vidéo sur un serveur interne du commissariat, toujours pour les besoins de l'enquête. Et c'est de là que vient la fuite. Un agent indélicat prend la vidéo et la diffuse sur les réseaux sociaux.
Joint par nos soins, le directeur de la police départementale dit vouloir faire toute la lumière sur cette affaire. L'agent "diffuseur" de la vidéo a enfreint le secret professionnel. il risque une lourde sanction disciplinaire.