Une agression non loin du lycée Léon Gontran Damas hier, une autre la semaine dernière devant le collège Reeberg Néron. Les actes de violence aux abords de certains établissements de Rémire-Montjoly s’enchaînent. Un sentiment de peur s'installe chez certains élèves.
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Deux élèvent qui sortaient du lycée Léon Gontran Damas ont été pris à partie hier juste à coté du stade Edmard Lama. La semaine dernière, deux collégiennes de Reeberg Néron ont été agressées devant leur établissement. L'inquiétude monte chez les élèves et les parents alors que l'émotion n'est pas retombée après la disparition tragique du lycéen Yann.
On évoquait de la présence d’une arme à feu mais il n'y a pas de confirmation des gendarmes à ce sujet.
Une agression violente pour deux portables.
Il n'empêche que l'insécurité aux alentours de ce collège est une affaire récurrente qui n'a pas encore trouvé de solution.
Les élèves pour certains ont peur, résignés, ils ne croient pas que l'augmentation du nombre de patrouilles des forces de l'ordre dans le secteur va faire cesser ces agressions.
Frappés à coup de poing américain
Les faits : hier mardi au environ de 17h30 deux élèves âgés de 18 et 17 ans sortent du lycée. Ils ont pris à partie par huit individus qui sont arrivés à leur niveau en voiture. Les deux lycéens sont frappés à coup de poing américain. Ils ont eu très peur, l’un d’eux a été transporté à l’hôpital pour être soigné.On évoquait de la présence d’une arme à feu mais il n'y a pas de confirmation des gendarmes à ce sujet.
Une agression violente pour deux portables.
Réaction d'un lycéen
Agressées avec une arme factice
Pour l’agression qui s’est déroulée la semaine dernière devant le collège Reeberg Néron, il s’agissait de quatre jeunes en scooter qui ont molesté deux jeunes collégiennes. Très rapidement, les gendarmes ont interpellé deux individus piste Tarzan. Un troisième a été arrêté par la suite. iIs sont mineurs. Ils ont été mis en examen et sous contrôle judiciaire strict pour vol avec arme. Une arme factice a-t-on appris par la suite.Il n'empêche que l'insécurité aux alentours de ce collège est une affaire récurrente qui n'a pas encore trouvé de solution.
Les élèves pour certains ont peur, résignés, ils ne croient pas que l'augmentation du nombre de patrouilles des forces de l'ordre dans le secteur va faire cesser ces agressions.
La peur des agressions chez les lycéens