Comment la forêt guyanaise va-t-elle réagir au réchauffement climatique Comment s'adapter à ce changement ? Une journée de réflexion était organisée hier à la Région, à l’initiative de la région et du CIRAD, Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement.
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Selon les prévisions, la température moyenne devrait augmenter de 1,8 à 6 degrés d’ici 2080 en Guyane avec une intensification des saisons sèches. Conséquence attendue : des arbres qui poussent moins vite et qui meurent plus nombreux. Pour Alain Cyrille, de l’Interprofessionnelle du Bois (groupement des professionnels guyanais du secteur Bois), le changement climatique ne doit pas être une contrainte pour la filière en Guyane déjà engagée depuis 2012 avec l'Office National des Forêts dans une démarche de gestion durable de la forêt.
Conformément au label PEFC, l’exploitant forestier ne doit pas prélever plus de cinq arbres sur un hectare et doit attendre 65 ans avant de retourner sur cette parcelle pour laisser le temps de la repousse.
La réflexion est bien engagée sur les conséquences du réchauffement climatique, les instances régionales portent ce sujet d'actualité depuis déjà des années et qui devrait revenir sur le devant de la scène de manière plus prégnante désormais.
Le reportage de Renaud Terrazzoni et Abel Parnasse
Conformément au label PEFC, l’exploitant forestier ne doit pas prélever plus de cinq arbres sur un hectare et doit attendre 65 ans avant de retourner sur cette parcelle pour laisser le temps de la repousse.
La réflexion est bien engagée sur les conséquences du réchauffement climatique, les instances régionales portent ce sujet d'actualité depuis déjà des années et qui devrait revenir sur le devant de la scène de manière plus prégnante désormais.
Le reportage de Renaud Terrazzoni et Abel Parnasse