Une grande figure de la société guyanaise s'en est allée, Joseph Mondésir dit Tonton Jo chanteur, compositeur aura marqué son époque avec un répertoire exceptionnel constitué d'innombrables succès qui ont fait de lui un artiste unanimement reconnu par toutes les générations.
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Auteur compositeur, il écrit sa 1ère chanson en 1964, elle s’intitule, « Venez à nous » un titre joué avec Germain Barbe et l’orchestre les Vautours, sa deuxième composition est un hommage à Saint- Laurent du Maroni « Mo loin di to mo pé ké pé blié to ».
Très tôt dans sa carrière il démontre qu’il est un homme disponible près à travailler avec tous ceux qui le désirent et notamment les jeunes.
Il évolue avec plusieurs orchestre a ses débuts, celui de Gilles Sébéloué et Ruffinel, la Flamme Harmonieuse ou encore Dany Stars avec Mme Ducreux. et cela bien souvent sans l’accord de sa famille.
Il s’impose très vite comme chanteur de charme avec les Vautours avec des séries de boléros torrides.
Fait marquant pour lui sa rencontre avec l’orchestre de feu Georges Théolade et le groupe folklorique Dhalia dont il fut le prince.
En 1973 il s’exile pendant 7 à 8 ans en Guadeloupe et chante en compagnie de Joseph Placide dans des soirées à l'invitation du fameux producteur et chanteur guadeloupéen Henry Debbs.
A son retour en Guyane il réalise l’album « Lavi dan boi » sur une proposition de Daniel Sinaï.
La suite est une succession de succès avec parmi eux des titres comme : "Roi du Colombo" "Aboubou", "Domino", "Le fils de l'esclave" sans oublier "L’âge d’or" et "Badaw".
Très tôt dans sa carrière il démontre qu’il est un homme disponible près à travailler avec tous ceux qui le désirent et notamment les jeunes.
Il évolue avec plusieurs orchestre a ses débuts, celui de Gilles Sébéloué et Ruffinel, la Flamme Harmonieuse ou encore Dany Stars avec Mme Ducreux. et cela bien souvent sans l’accord de sa famille.
Il s’impose très vite comme chanteur de charme avec les Vautours avec des séries de boléros torrides.
Fait marquant pour lui sa rencontre avec l’orchestre de feu Georges Théolade et le groupe folklorique Dhalia dont il fut le prince.
En 1973 il s’exile pendant 7 à 8 ans en Guadeloupe et chante en compagnie de Joseph Placide dans des soirées à l'invitation du fameux producteur et chanteur guadeloupéen Henry Debbs.
A son retour en Guyane il réalise l’album « Lavi dan boi » sur une proposition de Daniel Sinaï.
La suite est une succession de succès avec parmi eux des titres comme : "Roi du Colombo" "Aboubou", "Domino", "Le fils de l'esclave" sans oublier "L’âge d’or" et "Badaw".