70 hectares pour accueillir 80 entreprises et un espace de vie dans la zone de Dégrad des Cannes, c’est le projet du Parc Avenir de Rémire-Montjoly.
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Le montant des travaux pour ce parc d’activités économiques s’élève à 48 millions d’euros, il est porté par la la CCI Guyane en partenariat avec la Ville de Rémire-Montjoly, et la Semsamar pour l’opérateur. Ce pôle industriel et artisanal devrait favoriser les échanges commerciaux grâce à la proximité du grand port.
Ces entreprises devraient doubler le nombre de salariés présents à Dégrad Des Cannes, aujourd’hui ils sont environ 1400. Pour Jean Ganty, maire de Rémire-Montjoly, ce parc d’activités entre dans un projet global permettant de relier l’habitat et l’emploi. Le Parc Avenir sera situé à proximité de l’Eco-quartier.
En plus des industries, un espace paysager autour d’un bassin proposera des lieux de détente et de restauration mais aussi des services pour les salariés de la zone comme une agence bancaire ou une crèche. Les travaux de cette opération d’envergure d’un montant de 48 millions devraient démarrer début 2016.
Créer des emplois supplémentaires et amener de la vie
Créer de l’emploi, apporter de la vie dans une zone industrielle et générer de l’activité économique, ce sont les ambitions du Parc Avenir de Dégrad des Cannes. Sur les 40 hectares de surface commercialisable, près de 80 entreprises devraient s’installer et pour les attirer, une exonération fiscale est prévue mais surtout un prix qui se veut attractif.Ces entreprises devraient doubler le nombre de salariés présents à Dégrad Des Cannes, aujourd’hui ils sont environ 1400. Pour Jean Ganty, maire de Rémire-Montjoly, ce parc d’activités entre dans un projet global permettant de relier l’habitat et l’emploi. Le Parc Avenir sera situé à proximité de l’Eco-quartier.
En plus des industries, un espace paysager autour d’un bassin proposera des lieux de détente et de restauration mais aussi des services pour les salariés de la zone comme une agence bancaire ou une crèche. Les travaux de cette opération d’envergure d’un montant de 48 millions devraient démarrer début 2016.