François Hollande visite actuellement Haïti et il est suivi de près par des membres de la communauté haïtienne de Guyane. La petite phrase sur la dette du pays n'a pas suscité d'emballement, ils ont bien compris que l'engagement du président français n’était que moral.
François Hollande, Président de la République française : « Quand je viendrai en Haïti, j’acquitterai à mon tour la dette que nous avons ».
Pour les haïtiens vivant en Guyane, les mots du président de la république française seront écoutés et analysés, au regard de sa déclaration de dimanche dernier en Guadeloupe, cette dernière ayant suscitée beaucoup d’espoir.
Dorjean Sylvera, président d'une association d’alphabétisation : « il prêche la réconciliation des peuples, le vivre ensemble ».
Acquittement d'une dette morale envers Haïti, la chose est bien comprise par la communauté haïtienne de Guyane. Acquittement d'une dette qui pourrait passer par une aide à la reconstruction.
Noémie Tertulien, président de l'association PUZZLE : « Notre président haïtien a commencé à faire des bonnes choses en Haïti, il a commencé à reconstruire Haïti. Si Hollande veut vraiment continuer à aider la reconstruction du pays, ce serait bien pour nous les haïtiens ».
Le reportage de José Charles-Nicolas, Abel parnasse
Pour les haïtiens vivant en Guyane, les mots du président de la république française seront écoutés et analysés, au regard de sa déclaration de dimanche dernier en Guadeloupe, cette dernière ayant suscitée beaucoup d’espoir.
Dorjean Sylvera, président d'une association d’alphabétisation : « il prêche la réconciliation des peuples, le vivre ensemble ».
Acquittement d'une dette morale envers Haïti, la chose est bien comprise par la communauté haïtienne de Guyane. Acquittement d'une dette qui pourrait passer par une aide à la reconstruction.
Noémie Tertulien, président de l'association PUZZLE : « Notre président haïtien a commencé à faire des bonnes choses en Haïti, il a commencé à reconstruire Haïti. Si Hollande veut vraiment continuer à aider la reconstruction du pays, ce serait bien pour nous les haïtiens ».
Le reportage de José Charles-Nicolas, Abel parnasse