Sacs, chaussures, parfums de grandes marques font l'objet de contrefaçon, ces produits sont visibles dans de nombreux magasins en Guyane. Ils arrivent du Suriname, de l'Asie mais aussi du Brésil ou des Etats-Unis, d'où la difficulté pour les douaniers d'intercepter ces flux.
Le port de commerce de Dégrad des Cannes est le poumon économique de la Guyane. C'est ici que les marchandises arrivent sur le territoire guyanais, plus de 30 000 containers chaque année et parmi toutes ces marchandises des milliers d'articles de contrefaçon.
Un douanier (anonyme) nous confie : « pour repérer les contrefaçons, nous nous appuyons sur le packaging. Les marques très connues ont des emballages et des étiquetages spécifiques, c'est ce qui nous permet de pouvoir reconnaître les copies ».
Thierry Goze, chef divisionnaire des douanes en Guyane : « Les saisies sont principalement des vêtements, des articles de luxe (porte-monnaie, portefeuille, sac), des chaussures, des parfums, des médicaments, des articles pour bébé ou encore des pièces automobiles ».
Chaque année les douanes de Guyane saisissent environ 10 000 articles de contrefaçon. Mais le trafic dépasse de loin ces chiffres, aussi importants que le va-et-vient incessant des pirogues qui traversent le Maroni entre Saint-Laurent et Albina aux portes du Suriname, le pays de la contrefaçon.
Le reportage de Jocelyne Helgoualch et FrancK Fernandez
Un douanier (anonyme) nous confie : « pour repérer les contrefaçons, nous nous appuyons sur le packaging. Les marques très connues ont des emballages et des étiquetages spécifiques, c'est ce qui nous permet de pouvoir reconnaître les copies ».
Thierry Goze, chef divisionnaire des douanes en Guyane : « Les saisies sont principalement des vêtements, des articles de luxe (porte-monnaie, portefeuille, sac), des chaussures, des parfums, des médicaments, des articles pour bébé ou encore des pièces automobiles ».
Chaque année les douanes de Guyane saisissent environ 10 000 articles de contrefaçon. Mais le trafic dépasse de loin ces chiffres, aussi importants que le va-et-vient incessant des pirogues qui traversent le Maroni entre Saint-Laurent et Albina aux portes du Suriname, le pays de la contrefaçon.
Le reportage de Jocelyne Helgoualch et FrancK Fernandez