L'Union de Guyane conduite par Muriel Icaré est la dernière à s'être déclarée. Ce qui porte à 9 le nombre de listes prêtes à s'affronter dans la course à la présidence de la future CTG. Une offre politique pléthorique qui interpelle sur les réelles motivations des candidats.
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Plus on est de fous... la suite vous la connaissez ! Sauf que le trop nuit souvent au mieux et gomme jusqu'au sourire. Preuve en est du spectacle affligeant autant qu'inquiétant de 6 listes dites de de gauches dont 5 s'accordent sur un même constat et s'entendent sur des propositions communes.
Un débat (Politik.Guyane du 30 octobre) entre 3 représentants de listes censées concurrentes naguère s'est avéré révélateur. Respect scrupuleux de par et d'autre d'un pacte de non agression au détriment d'un vrai débat politique lequel exige volontarisme, singularité et idées courageuses.
A droite cela n'est guère mieux même si on ne se reconnaît peu ou prou porteur de la même idéologie politique. Là se sont les querelles de personnes, les ego qui troublent les discours.
Éviter la confrontation d'un côté, cultiver la dispersion de l'autre, on l'a bien compris, chacun joue sa propre partition dans l'espoir de préserver ses chances électorales. Preuve d'une vitalité démocratique crieront certains. Mais une chose choque dans cette affaire, cette impression désagréable que les principes et les valeurs ne font plus le poids aujourd'hui face aux calculs d'épiciers et tant pis pour l'électeur désorienté. C'est au mieux hypocrite et au pire irresponsable.
Trop de folie cela peut parfois nuire gravement au débat politique.
Un débat (Politik.Guyane du 30 octobre) entre 3 représentants de listes censées concurrentes naguère s'est avéré révélateur. Respect scrupuleux de par et d'autre d'un pacte de non agression au détriment d'un vrai débat politique lequel exige volontarisme, singularité et idées courageuses.
A droite cela n'est guère mieux même si on ne se reconnaît peu ou prou porteur de la même idéologie politique. Là se sont les querelles de personnes, les ego qui troublent les discours.
Éviter la confrontation d'un côté, cultiver la dispersion de l'autre, on l'a bien compris, chacun joue sa propre partition dans l'espoir de préserver ses chances électorales. Preuve d'une vitalité démocratique crieront certains. Mais une chose choque dans cette affaire, cette impression désagréable que les principes et les valeurs ne font plus le poids aujourd'hui face aux calculs d'épiciers et tant pis pour l'électeur désorienté. C'est au mieux hypocrite et au pire irresponsable.
Trop de folie cela peut parfois nuire gravement au débat politique.