Depuis le 2 novembre a débuté en préfecture le dépôt des listes pour l'élection à la Collectivité Territoriale de Guyane. Les candidats ont jusqu'au 9 novembre pour effectuer leurs démarches. A ce jour, neuf têtes de listes se sont fait connaître.
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Il y a ceux qui sont partis avant, il y a ceux qui ne sont pas encore partis et puis il y a ceux qui iront jusqu'au bout.
Alain Tien Long, Chantal Berthelot, Rodolphe Alexandre et Fabien Canavy font partie de la 1ère catégorie. Si l'officialisation de leur entrée en course ne s'est effectuée que très récemment pour certains, le doute sur leur participation à cette jouté électorale était bien faible.
Plus surprenante la volonté d'être du grand débat public des forces de droite absentes depuis 2010 de tous les scrutins de listes avec Rémy-Louis Budoc et Muriel Icaré dans le rôle des portes drapeau pour mener un marais de droite plus que dispersé à la bataille.
Surprise également offerte par le mouvement Walwari. ce désir d'en découdre de militants bien qu'orphelins de leur figure emblématique et contraints bon gré, mal gré d'aller au charbon car il en va cette fois de la survie de leur mouvement.
Que dire du souhait de débattre du Parti Progressiste Guyanais. Un PPG encore dans la théorie en terme de discours et à qui une plongée en apnée dans le réel d'une campagne ne pourrait être que bénéfique.
Reste le citoyen Sylvio Létard, objet politique non identifié. Autoproclamé défenseur des intérêts de la Guyane, à l'appareil politique et à l'électorat en forme de cabine téléphonique.
On le constate beaucoup de volonté mais qui ira jusqu'au bout? Cela n'est pas écrit d'avance.
Alain Tien Long, Chantal Berthelot, Rodolphe Alexandre et Fabien Canavy font partie de la 1ère catégorie. Si l'officialisation de leur entrée en course ne s'est effectuée que très récemment pour certains, le doute sur leur participation à cette jouté électorale était bien faible.
Plus surprenante la volonté d'être du grand débat public des forces de droite absentes depuis 2010 de tous les scrutins de listes avec Rémy-Louis Budoc et Muriel Icaré dans le rôle des portes drapeau pour mener un marais de droite plus que dispersé à la bataille.
Surprise également offerte par le mouvement Walwari. ce désir d'en découdre de militants bien qu'orphelins de leur figure emblématique et contraints bon gré, mal gré d'aller au charbon car il en va cette fois de la survie de leur mouvement.
Que dire du souhait de débattre du Parti Progressiste Guyanais. Un PPG encore dans la théorie en terme de discours et à qui une plongée en apnée dans le réel d'une campagne ne pourrait être que bénéfique.
Reste le citoyen Sylvio Létard, objet politique non identifié. Autoproclamé défenseur des intérêts de la Guyane, à l'appareil politique et à l'électorat en forme de cabine téléphonique.
On le constate beaucoup de volonté mais qui ira jusqu'au bout? Cela n'est pas écrit d'avance.