"Tandé van chanté" comédie musicale présentée à l'ENcre ce 13 novembre est la nouvelle mise en scène de La compagnie guyanaise des Arts et des traditions Populaires de Guyane. Elle fait parler les corps pour raconter une histoire poétique.
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Une seule voix off comme support vocal, le message reste pourtant efficace : « c’est la victoire de et ce, malgré les soubresauts et les tragédies qui ont marqué la mémoire guyanaise ». Un spectacle en deux parties sans dialogue où les corps s’expriment pour raconter une histoire.
La première partie intitulée Requiem pour le nègre marron inconnu est un grand voyage qui dévoile à travers le temps et la puissance du vent, les tournants de l’histoire de la Guyane : peuple originel, contes amérindiens, les troubles et les révolutions, les influences européennes et africaines, la société créole et ses danses.
Les enfants du vent en deuxième partie est une histoire mythique tirée de l'imaginaire et d'événements réels à travers lesquelles évoluent des divinités symboles de la nature amazonienne. La déesse des fleuves et sa fille Nahema, le Dieu des Forêts et son fils Adema. Le Dieu du Feu et du Carnaval Vaval et Lanmô sont aussi présents. Ces divinités sont les fruits des semences que le vent de l’histoire à essaimer sur les côtes de Guyane selon l’association CGATP.
L’association à plusieurs objectifs comme favoriser la créativité inspirée de la diversité des danses et des cultures guyanaises, ou encore la création par et pour les jeunes guyanais de 18 à 25 ans d’une véritable troupe de ballets qui soit la vitrine de la Guyane à l’extérieur.
La première partie intitulée Requiem pour le nègre marron inconnu est un grand voyage qui dévoile à travers le temps et la puissance du vent, les tournants de l’histoire de la Guyane : peuple originel, contes amérindiens, les troubles et les révolutions, les influences européennes et africaines, la société créole et ses danses.
Les enfants du vent en deuxième partie est une histoire mythique tirée de l'imaginaire et d'événements réels à travers lesquelles évoluent des divinités symboles de la nature amazonienne. La déesse des fleuves et sa fille Nahema, le Dieu des Forêts et son fils Adema. Le Dieu du Feu et du Carnaval Vaval et Lanmô sont aussi présents. Ces divinités sont les fruits des semences que le vent de l’histoire à essaimer sur les côtes de Guyane selon l’association CGATP.
L’association à plusieurs objectifs comme favoriser la créativité inspirée de la diversité des danses et des cultures guyanaises, ou encore la création par et pour les jeunes guyanais de 18 à 25 ans d’une véritable troupe de ballets qui soit la vitrine de la Guyane à l’extérieur.