Le préfet de Guyane, Eric Spizt, invité du journal de 13h en radio est revenu sur le décret de l'Etat d'urgence pris lors du Conseil des ministres qui ne s'applique pas en Guyane. Mais des dispositions exceptionnelles de sécurité ont, cependant, été prises pour notre région.
Dans un communiqué le préfet de Guyane a officiellement fait savoir qu'il avait procédé :
- au renforcement des mesures de sécurité dans les sites sensibles que sont l'aéroport Félix Eboué, le centre spatial guyanais dont le survol est interdit,
- le renforcement du contrôle aux frontières,
- la fouille systématique des véhicules au point de contrôles d'Iracoubo et e Régina avec la présence des agents de douanes.
- le renforcement des effectifs de toutes les forces de l'ordre
Ces mesures, compte tenu de la situation ont été prises à la suite d'une réunion de l'Etat major de défense provoquée par le préfet. Ce dernier a bien expliqué l'application de ce dispositif exceptionnel qui doit s'adapter à la situation particulière et difficile existante.
- au renforcement des mesures de sécurité dans les sites sensibles que sont l'aéroport Félix Eboué, le centre spatial guyanais dont le survol est interdit,
- le renforcement du contrôle aux frontières,
- la fouille systématique des véhicules au point de contrôles d'Iracoubo et e Régina avec la présence des agents de douanes.
- le renforcement des effectifs de toutes les forces de l'ordre
Ces mesures, compte tenu de la situation ont été prises à la suite d'une réunion de l'Etat major de défense provoquée par le préfet. Ce dernier a bien expliqué l'application de ce dispositif exceptionnel qui doit s'adapter à la situation particulière et difficile existante.
De plus, un deuil national de trois jours est décrété à partir de demain, dimanche 15 novembre. Une minute de silence sera instaurée lundi 16 novembre à midi, heure locale, dans tous les services de l’État. Les drapeaux sont dès à présent mis en berne.