Le premier cas de Zika a été détecté en Guyane à la mi décembre 2015. Depuis d'autres cas sont apparus, une dizaine a été recensée. Le service de démoustication multiplie les actions de prévention sur le terrain et organise sa chasse aux moustiques.
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Le meilleur moyen d'empêcher la propagation du virus du Zika reste la prévention. Pour la service de démoustication, la tâche est lourde et relève même du challenge. Les gîtes larvaires où prolifèrent l'aedes aegypti sont multiples en Guyane en pleine saison des pluies et ils ne se situent pas seulement dans les zones insalubres.
Le service de démoustication réagit très vite dès l'annonce d'un nouveau cas de zika pour détruire les moustiques dans l'environnement des malades. Il installe des pièges à moustiques qui capturent l'aedes aegypti grâce à la diffusion d'une odeur qui les attire. Ils sont ainsi capturés par centaines.
Si cela fonctionnent bien, il faut néanmoins que les habitants apprennent à respecter toutes les précautions qui sont préconisées en matière de prévention : se protéger notamment avec des vêtements à manches, utiliser des répulsifs et des moustiquaires.
Le reportage de Jocelyne Helgoualch et Elise Ramirez
Le service de démoustication réagit très vite dès l'annonce d'un nouveau cas de zika pour détruire les moustiques dans l'environnement des malades. Il installe des pièges à moustiques qui capturent l'aedes aegypti grâce à la diffusion d'une odeur qui les attire. Ils sont ainsi capturés par centaines.
Si cela fonctionnent bien, il faut néanmoins que les habitants apprennent à respecter toutes les précautions qui sont préconisées en matière de prévention : se protéger notamment avec des vêtements à manches, utiliser des répulsifs et des moustiquaires.
Le reportage de Jocelyne Helgoualch et Elise Ramirez