Vingt jeunes volontaires du collège de la Canopée à Matoury, suivent un projet des ministères de la défense et de l’éducation nationale dont l’objectif est de les sensibiliser aux valeurs citoyennes. Le 18 février, ces cadets de la défense sont allés découvrir les institutions de la CTG.
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Ils sont 20 jeunes volontaires à découvrir les métiers de l’armée et les valeurs citoyennes. Aux côtés de leur accompagnatrice, Jennifer Sophie, conseillère principale d’orientation les cadets de la défense sont allés à la rencontré du président de la CTG Rodolphe Alexandre dans les locaux de la Collectivité territoriale de Guyane qui les a accueilli en compagnie de la 1ère vice-présidente, Hélène Sirder.
Un entretien préparé dans les moindres détails. Les élèves ont voulu savoir, par exemple, qu'elles étaient les réponses de la CTG face à la violence.
Pour Hélène Sirder, les cadets de la Défense, sont déjà une partie de la solution. Il ne s’agit pas de raisonner uniquement dans le présent mais il faut aussi préparer les générations à venir. A travers leurs actions, aujourd’hui, ces jeunes, sont un exemple à suivre. Ils savent quels sont les comportements à ne pas adopter et comment respecter les codes de la société.
La vice- présidente de la CTG leur a également posé, elle aussi, une question. « Pourquoi des jeunes qui sont face à des scènes de « Tchok » (combats), de violence, préfèrent filmer au lieu de porter secours ? ». Hélène Sinder a rappelé à ces jeunes que ces actes peuvent être considérés comme une non- assistance à personne en danger.
Un entretien préparé dans les moindres détails. Les élèves ont voulu savoir, par exemple, qu'elles étaient les réponses de la CTG face à la violence.
Pour Hélène Sirder, les cadets de la Défense, sont déjà une partie de la solution. Il ne s’agit pas de raisonner uniquement dans le présent mais il faut aussi préparer les générations à venir. A travers leurs actions, aujourd’hui, ces jeunes, sont un exemple à suivre. Ils savent quels sont les comportements à ne pas adopter et comment respecter les codes de la société.
La vice- présidente de la CTG leur a également posé, elle aussi, une question. « Pourquoi des jeunes qui sont face à des scènes de « Tchok » (combats), de violence, préfèrent filmer au lieu de porter secours ? ». Hélène Sinder a rappelé à ces jeunes que ces actes peuvent être considérés comme une non- assistance à personne en danger.