C'est l’inquiétude pour les 300 employés de GGP Sécurité, une entreprise de surveillance de gardiennage et de protection.
Quasiment du jour au lendemain, et sans préavis, une partie des salariés a dû cesser toute activité. La société est placée sous un arrêté préfectoral d'interdiction d'exercer.
Quasiment du jour au lendemain, et sans préavis, une partie des salariés a dû cesser toute activité. La société est placée sous un arrêté préfectoral d'interdiction d'exercer.
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L’ensemble des salariés de la socité GGP attend des réponses de la direction qui est contraint, par arrêté préfectoral de stopper ses services et ce durant trois mois.
L'avocat de l'entreprise indique avoir saisi le tribunal administratif pour contester cette décision qu’il juge illégale et non fondée.
Un délibéré est attendu entre aujourd’hui et demain.
Il est aussi question dans le procès-verbal de travail dissimulé et d'embauches d’étrangers sans titre de travail.
Pour l’heure la société de communique pas. Moins il y a de bruit sur cette affaire et plus vite des réponses seront apportées indique l’avocat de l’entreprise de gardiennage.
Mais il a aussi précisé que lorsque ces faits ont été rapportés, il y a eu des sanctions internes et des mesures restrictives. Cette manœuvre illégale n’est donc pas du fait de la direction d’où la contestation de l’arrêté préfectoral.
Mais au sein de la structure, on parle d'actions plus douteuses, comme l’emprunt illégal de cartes professionnelles d’agents. Une parade pour faire travailler les illégaux sur certains sites.
Des rumeurs certes, mais en 2017, le conseil national de sécurité avait sanctionné l’entreprise d’un blâme et soumis les dirigeants à une incapacité d’exercer pendant 3 ans.
Une réunion entre la direction et les salariés est prévue aujourd’hui pour expliquer la situation.
Si les choses ne s’arrangent pas, il y aura du chômage partiel nous indique encore l’avocat.
GGP sécurité assurait le gardiennage d'une bonne partie des bâtiments de l’Etat.
L'avocat de l'entreprise indique avoir saisi le tribunal administratif pour contester cette décision qu’il juge illégale et non fondée.
Un délibéré est attendu entre aujourd’hui et demain.
Travail dissimulé et embauche d'étrangers sans titre de travail
Les faits dénoncés concernent des contrôles non satisfaisants et des activités illégales opérées dans la commune de Saint-Laurent du Maroni, c’est donc le sous-préfet qui a motivé cette décision.Il est aussi question dans le procès-verbal de travail dissimulé et d'embauches d’étrangers sans titre de travail.
Pour l’heure la société de communique pas. Moins il y a de bruit sur cette affaire et plus vite des réponses seront apportées indique l’avocat de l’entreprise de gardiennage.
Mais il a aussi précisé que lorsque ces faits ont été rapportés, il y a eu des sanctions internes et des mesures restrictives. Cette manœuvre illégale n’est donc pas du fait de la direction d’où la contestation de l’arrêté préfectoral.
Mais au sein de la structure, on parle d'actions plus douteuses, comme l’emprunt illégal de cartes professionnelles d’agents. Une parade pour faire travailler les illégaux sur certains sites.
Des rumeurs certes, mais en 2017, le conseil national de sécurité avait sanctionné l’entreprise d’un blâme et soumis les dirigeants à une incapacité d’exercer pendant 3 ans.
Une réunion entre la direction et les salariés est prévue aujourd’hui pour expliquer la situation.
Si les choses ne s’arrangent pas, il y aura du chômage partiel nous indique encore l’avocat.
GGP sécurité assurait le gardiennage d'une bonne partie des bâtiments de l’Etat.