La Guyane autrement avec le guide "Guyane, Tourisme, cultures et randonnées". Un indispensable pour parcourir en long et en large le territoire Guyanais. La huitième édition est sortie. Elle s’adresse aux touristes et au grand public.
La Guyane autrement avec le guide "Guyane, Tourisme, cultures et randonnées". Un indispensable pour parcourir en long et en large le territoire Guyanais. La huitième édition est sortie. Elle s’adresse aux touristes et au grand public.
Déjà la huitième année pour le guide "Guyane, Tourisme, culture et randonnées". Un indispensable qui chaque année s’étoffe et réactualise ses informations. Cet ouvrage de près de 432 pages permet de découvrir la destination Guyane en dehors des sentiers battus. L’auteur Philippe Boré vit en Guyane.
Il est l’auteur, le photographe, il effectue la mise en page, un homme orchestre passionné du pays et de ses beaux parcours pédestres...et le résultat est de haute tenue. Agréable à lire, le guide se déguste au fur et à mesure, en fonction de la destination souhaitée.
L’ouvrage prône d’abord un tourisme équitable et solidaire. Pas de tourisme de masse, mais un tourisme de proximité, à la rencontre de la culture, et surtout, respectueux des habitants.
L’ouvrage détaille les sentiers pédestres et les belles randonnées à faire de Cayenne à Maripasoula, en passant par Saint Georges et Kaw… Une Guyane d’est en ouest, tiraillée par ses extrêmes : du sentier du Montabo à Cayenne à faire en famille, à la randonnée sur les hauteurs de la montagne des Singes équipé d’un GPS. 45 randonnées sont proposées.
Guide Guyane de Philippe Boré , Tourisme cultures nature et randonnées
PB : C'est en 1998, que les premiers exemplaires de cet ouvrage ont sillonné la Guyane. A cette époque, pas si lointaine, j’en effectuais également la diffusion et les librairies étaient bien plus nombreuses qu'aujourd'hui. Je me rappelle mes premières livraisons à la Librairie Guyanaise, rue d'Estrée, à la librairie Monnerville, puis Encrage à Kourou et le Toucan à Saint-Laurent-du-Maroni... tout cela semble bien loin et seuls nos amis du Toucan à l'ouest, ont réussi à se maintenir sur la place, à l'arrivée des grandes surfaces. La première édition ne proposait que « 13 randos » et une centaine de « brèves » sur la faune et la flore. A l'époque les Guyanais avaient bien sûr tous entendu parlé de ces 13 sentiers pédestres, (la montagne des Singes, le Mont Matoury, le bagne des Annamites, Favard, Mondelice, les Malgaches...) mais bien peu de personnes savaient comment s'y rendre... Pourtant, quelques années auparavant, le Comité du Tourisme avait implanté quantité de ces sympathiques panneaux directionnels « Toucan » qui indiquaient leur localisation, … mais victimes de leur beau graphisme, ces panneaux ont donné lieu à des déboulonnages nocturnes, car tel un trophée, devenus très prisés comme souvenir d'Amazonie française... j’ai ainsi eu l'idée de compiler ses sentiers de randos, en précisant leur localisation précise, leur durée de parcours, leur spécificité, et surtout, en fonction du biotope traversé, quels étaient les animaux susceptibles de rencontrer, au détours du layon…? Il faut savoir que la Guyane est un des rares pays d'Amérique du Sud à proposer aux visiteurs et résidents des sentiers pédestres balisés sur de courtes distances. Au Surinam, par exemple, les sentiers de la sorte se comptent sur les doigts d'une main, chaque intrusion en forêt nécessite l'intervention d'un guide ou d'une structure touristique ! A ce titre, à la recherche de partenaires touristiques pour le premier tirage, j'ai eu à plusieurs reprises cette remarque « c'est un livre pour les touristes qui ne veulent pas dépenser d’argent ». Ma démarche était tout autre. Je considérais que le meilleur moyen de briser ce préjugé « d’enfer vert » pour la forêt tropicale,consistait à démarrer progressivement dans la découverte de ce milieu soit disant « hostile ». Cet obstacle franchi par une balade forestière urbaine tel le Rorota ou la Mirande, les familles devenaient alors plus prédisposées à partir « en expé » via nos agences de voyages, loin des sentiers battus. Jean Louis Antoine fut mon premier partenaire car il avait le même concept de l'initiation à l'éco- tourisme. Ce qui a surtout séduit les lecteurs, c’est la compilation de près de 250 brèves sur les remarquables interactions entre la faune, la flore et les peuples de Guyane, anecdotes répertoriées dans un carnet lors des « sorties-nature » très nombreuses à l'époque, organisées par les naturalistes bénévoles de
la Sépanguy, du Gepog ou du Pou d'Agouti (2)'
A ce jour, le Guide Guyane totalise, toutes éditions confondues, un tirage cumulé de 47 000 exemplaires, ce qui est probablement un record pour une production locale.
- Comment procédez-vous pour réactualiser les informations ?
PB : Comme l'indique le nom de ma petite maison d'édition (1), je suis un curieux de nature et de tout ce qui s'y rapproche, la faune, la flore mais surtout l'Homme. Tout au long de l'année, ma compagne et moi, nous parcourons les communes de Guyane. A chaque nouveau layon, point de vue, curiosité du patrimoine naturel ou historique mis en valeur, mais aussi chaque création d'entreprise artisanale liée au tourisme, je le répertorie sur mon site internet. J'y inscrit aussi les fermetures ou changements de propriétaires. Le lecteur peut alors actualiser le Guide tout au long l'année, une manière de pérenniser un média papier, figé dès son impression. A l'issue d'une nouvelle édition, le site web est nettoyé de ses insertions et repart pour de nouvelles aventures. Il est très rare, et je le regrette, que je reçoive des informations spontanées des nouveaux acteurs du tourisme. Par contre, chaque année, par courriel, des lecteurs me font part de leur découverte, déception ou satisfaction des « bonnes adresses » du guide. J'ai pris l'habitude de remercier les meilleurs contributeurs par l'envoi d'un guide de l'édition suivante.
- C’est un guide touristique mais pas seulement , il y a beaucoup d’infos sur l’histoire , la société, la faune et la flore , travaillez-vous avec des spécialistes ?
PB : Durant mes premiers années en Guyane, en 1998, je me suis passionné pour la biodiversité mais rapidement, c'est l'Histoire du « peyi » qui m'a captivé. J'étais surtout à la recherche de citations anciennes qui permettaient de relater l'évolution ou pas de lieux reconnus... tels les fontaines et réservoirs de Cayenne, les vestiges des phares du littoral, la pharmacopée des jardins créoles, les récits de chasse et pêche, etc. Des ouvrages tels que ceux du Dr Henri, Robert Vignon, Ulrich Sophie, Michel Lohier, Frederic Bouyer et plus récemment les nouvelles de Raphaël Létard, Sylviane Vayaboury, … m’ont aussi permis d'enrichir mes brèves de rappels historiques. Je remercie aussi Virginie Brunelot qui a largement contribué à ma déambulation historique dans le cimetière de Cayenne.
- Qu’est ce qui fait la différence entre votre guide et les autres ?
PB : Il existe désormais deux autres guides touristiques sur la Guyane, « Le Petit Futé » et le dernier arrivé est « le Guide du Routard », financé entièrement sur fonds publics. J'en ignore encore le contenu.Pour répondre à cette question, quoi de mieux que de vous citer le compliment le plus fréquent de mes lecteurs.« L’ouvrage est très pragmatique et précis dans sa rédaction ».Ayant moi-même souvent voyagé par le passé, j’ai souvent utilisé les guides de voyage. J’ai souvenir d'épisodes malheureux, les « galères » qui peuvent apparaître dans un voyage suite à des adresses obsolètes ou une rédaction imprécise. J'essaye donc, autant que possible, de me mettre dans la peau du voyageur, découvrant le descriptif d'un site touristique. Aussi, je me considère plus comme un artisan du livre, car je produis la quasi totalité de l'ouvrage, j’effectue interview, repérages sur le terrain, photos, plans et cartes, collecte des communications commerciales, mise en page et l'édition.
- En quoi le guide a-t-il évolué depuis huit ans ?
PB : Depuis sa création, il y a 20 ans, l'ouvrage est adapté au mieux, au désintérêt perceptible du « guide de voyage papier » au profit du smartphone. De simple guide de randonnées, à l'origine, cet ouvrage est devenu un guide de voyage généraliste, c’est notamment grâce aux centaines de bonnes
adresses décrites dans cette édition que le lecteur peut apprécier une Guyane tournée vers la rencontre des habitants (gîtes, lodges, guides-animateurs, artistes et artisans, meilleures tables de
restaurant…).
- Ce guide n’est destiné qu’aux touristes ou vous visez un public plus large ?
PB : On ne peut que saluer les différentes campagnes de communication pour promouvoir le tourisme.
Malgré tout, le tourisme spontané a du mal à s'implanter. Nos visiteurs occasionnels sont donc principalement accompagnés de leurs hôtes. Cette ouvrage s'adresse donc en premier lieu aux résidents qui utilisent cet ouvrage tout au long de l'année. La nouvelle édition propose d'ailleurs autant d'idées de balades qu'il existe de week-end dans l'année…Aussi, pour les curieux de la Guyane, « n'oubliez pas le guide » !
• les Editions des Curieux de Nature de Guyane
• www.randoguyane.com
Déjà une huitième édition
Déjà la huitième année pour le guide "Guyane, Tourisme, culture et randonnées". Un indispensable qui chaque année s’étoffe et réactualise ses informations. Cet ouvrage de près de 432 pages permet de découvrir la destination Guyane en dehors des sentiers battus. L’auteur Philippe Boré vit en Guyane.
Il est l’auteur, le photographe, il effectue la mise en page, un homme orchestre passionné du pays et de ses beaux parcours pédestres...et le résultat est de haute tenue. Agréable à lire, le guide se déguste au fur et à mesure, en fonction de la destination souhaitée.
Un tourisme équitable et solidaire pour préserver la belle Guyane
L’ouvrage prône d’abord un tourisme équitable et solidaire. Pas de tourisme de masse, mais un tourisme de proximité, à la rencontre de la culture, et surtout, respectueux des habitants.
L’ouvrage détaille les sentiers pédestres et les belles randonnées à faire de Cayenne à Maripasoula, en passant par Saint Georges et Kaw… Une Guyane d’est en ouest, tiraillée par ses extrêmes : du sentier du Montabo à Cayenne à faire en famille, à la randonnée sur les hauteurs de la montagne des Singes équipé d’un GPS. 45 randonnées sont proposées.
Des citations et des hommes
Ce guide est émaillé de citations d’un auteur ou d’une personnalité sur la Guyane
"... la forêt guyanaise est un trésor plus précieux que l’or que l’on veut lui arracher …" Hubert Reeves et Nicolas Hulot …
"...dans ce lieu on est plus effaré par le châtiment que par le crime" de Albert Londres.
Des citations qui incitent à mesurer la complexité du pays Guyane à travers le ressenti de ceux qui l’ont parcouru.
Les bons conseils
Ce guide renferme un nombre incalculable de bons conseils, de notes historiques, sur la faune et la flore, l’art culinaire etc... illustrées par de magnifiques photographies. Plus de 300 informations distillées par des encadrés au style télégraphique. Un ouvrage qui s’adresse au grand public.Guide Guyane de Philippe Boré , Tourisme cultures nature et randonnées
Philippe Boré : la randonnée au coeur
-Déjà la 8ème édition, comment expliquer le succès de ce guide ?PB : C'est en 1998, que les premiers exemplaires de cet ouvrage ont sillonné la Guyane. A cette époque, pas si lointaine, j’en effectuais également la diffusion et les librairies étaient bien plus nombreuses qu'aujourd'hui. Je me rappelle mes premières livraisons à la Librairie Guyanaise, rue d'Estrée, à la librairie Monnerville, puis Encrage à Kourou et le Toucan à Saint-Laurent-du-Maroni... tout cela semble bien loin et seuls nos amis du Toucan à l'ouest, ont réussi à se maintenir sur la place, à l'arrivée des grandes surfaces. La première édition ne proposait que « 13 randos » et une centaine de « brèves » sur la faune et la flore. A l'époque les Guyanais avaient bien sûr tous entendu parlé de ces 13 sentiers pédestres, (la montagne des Singes, le Mont Matoury, le bagne des Annamites, Favard, Mondelice, les Malgaches...) mais bien peu de personnes savaient comment s'y rendre... Pourtant, quelques années auparavant, le Comité du Tourisme avait implanté quantité de ces sympathiques panneaux directionnels « Toucan » qui indiquaient leur localisation, … mais victimes de leur beau graphisme, ces panneaux ont donné lieu à des déboulonnages nocturnes, car tel un trophée, devenus très prisés comme souvenir d'Amazonie française... j’ai ainsi eu l'idée de compiler ses sentiers de randos, en précisant leur localisation précise, leur durée de parcours, leur spécificité, et surtout, en fonction du biotope traversé, quels étaient les animaux susceptibles de rencontrer, au détours du layon…? Il faut savoir que la Guyane est un des rares pays d'Amérique du Sud à proposer aux visiteurs et résidents des sentiers pédestres balisés sur de courtes distances. Au Surinam, par exemple, les sentiers de la sorte se comptent sur les doigts d'une main, chaque intrusion en forêt nécessite l'intervention d'un guide ou d'une structure touristique ! A ce titre, à la recherche de partenaires touristiques pour le premier tirage, j'ai eu à plusieurs reprises cette remarque « c'est un livre pour les touristes qui ne veulent pas dépenser d’argent ». Ma démarche était tout autre. Je considérais que le meilleur moyen de briser ce préjugé « d’enfer vert » pour la forêt tropicale,consistait à démarrer progressivement dans la découverte de ce milieu soit disant « hostile ». Cet obstacle franchi par une balade forestière urbaine tel le Rorota ou la Mirande, les familles devenaient alors plus prédisposées à partir « en expé » via nos agences de voyages, loin des sentiers battus. Jean Louis Antoine fut mon premier partenaire car il avait le même concept de l'initiation à l'éco- tourisme. Ce qui a surtout séduit les lecteurs, c’est la compilation de près de 250 brèves sur les remarquables interactions entre la faune, la flore et les peuples de Guyane, anecdotes répertoriées dans un carnet lors des « sorties-nature » très nombreuses à l'époque, organisées par les naturalistes bénévoles de
la Sépanguy, du Gepog ou du Pou d'Agouti (2)'
A ce jour, le Guide Guyane totalise, toutes éditions confondues, un tirage cumulé de 47 000 exemplaires, ce qui est probablement un record pour une production locale.
- Comment procédez-vous pour réactualiser les informations ?
PB : Comme l'indique le nom de ma petite maison d'édition (1), je suis un curieux de nature et de tout ce qui s'y rapproche, la faune, la flore mais surtout l'Homme. Tout au long de l'année, ma compagne et moi, nous parcourons les communes de Guyane. A chaque nouveau layon, point de vue, curiosité du patrimoine naturel ou historique mis en valeur, mais aussi chaque création d'entreprise artisanale liée au tourisme, je le répertorie sur mon site internet. J'y inscrit aussi les fermetures ou changements de propriétaires. Le lecteur peut alors actualiser le Guide tout au long l'année, une manière de pérenniser un média papier, figé dès son impression. A l'issue d'une nouvelle édition, le site web est nettoyé de ses insertions et repart pour de nouvelles aventures. Il est très rare, et je le regrette, que je reçoive des informations spontanées des nouveaux acteurs du tourisme. Par contre, chaque année, par courriel, des lecteurs me font part de leur découverte, déception ou satisfaction des « bonnes adresses » du guide. J'ai pris l'habitude de remercier les meilleurs contributeurs par l'envoi d'un guide de l'édition suivante.
- C’est un guide touristique mais pas seulement , il y a beaucoup d’infos sur l’histoire , la société, la faune et la flore , travaillez-vous avec des spécialistes ?
PB : Durant mes premiers années en Guyane, en 1998, je me suis passionné pour la biodiversité mais rapidement, c'est l'Histoire du « peyi » qui m'a captivé. J'étais surtout à la recherche de citations anciennes qui permettaient de relater l'évolution ou pas de lieux reconnus... tels les fontaines et réservoirs de Cayenne, les vestiges des phares du littoral, la pharmacopée des jardins créoles, les récits de chasse et pêche, etc. Des ouvrages tels que ceux du Dr Henri, Robert Vignon, Ulrich Sophie, Michel Lohier, Frederic Bouyer et plus récemment les nouvelles de Raphaël Létard, Sylviane Vayaboury, … m’ont aussi permis d'enrichir mes brèves de rappels historiques. Je remercie aussi Virginie Brunelot qui a largement contribué à ma déambulation historique dans le cimetière de Cayenne.
- Qu’est ce qui fait la différence entre votre guide et les autres ?
PB : Il existe désormais deux autres guides touristiques sur la Guyane, « Le Petit Futé » et le dernier arrivé est « le Guide du Routard », financé entièrement sur fonds publics. J'en ignore encore le contenu.Pour répondre à cette question, quoi de mieux que de vous citer le compliment le plus fréquent de mes lecteurs.« L’ouvrage est très pragmatique et précis dans sa rédaction ».Ayant moi-même souvent voyagé par le passé, j’ai souvent utilisé les guides de voyage. J’ai souvenir d'épisodes malheureux, les « galères » qui peuvent apparaître dans un voyage suite à des adresses obsolètes ou une rédaction imprécise. J'essaye donc, autant que possible, de me mettre dans la peau du voyageur, découvrant le descriptif d'un site touristique. Aussi, je me considère plus comme un artisan du livre, car je produis la quasi totalité de l'ouvrage, j’effectue interview, repérages sur le terrain, photos, plans et cartes, collecte des communications commerciales, mise en page et l'édition.
- En quoi le guide a-t-il évolué depuis huit ans ?
PB : Depuis sa création, il y a 20 ans, l'ouvrage est adapté au mieux, au désintérêt perceptible du « guide de voyage papier » au profit du smartphone. De simple guide de randonnées, à l'origine, cet ouvrage est devenu un guide de voyage généraliste, c’est notamment grâce aux centaines de bonnes
adresses décrites dans cette édition que le lecteur peut apprécier une Guyane tournée vers la rencontre des habitants (gîtes, lodges, guides-animateurs, artistes et artisans, meilleures tables de
restaurant…).
- Ce guide n’est destiné qu’aux touristes ou vous visez un public plus large ?
PB : On ne peut que saluer les différentes campagnes de communication pour promouvoir le tourisme.
Malgré tout, le tourisme spontané a du mal à s'implanter. Nos visiteurs occasionnels sont donc principalement accompagnés de leurs hôtes. Cette ouvrage s'adresse donc en premier lieu aux résidents qui utilisent cet ouvrage tout au long de l'année. La nouvelle édition propose d'ailleurs autant d'idées de balades qu'il existe de week-end dans l'année…Aussi, pour les curieux de la Guyane, « n'oubliez pas le guide » !
• les Editions des Curieux de Nature de Guyane
• www.randoguyane.com