Le Centre hospitalier de Kourou est sous le coup d’un mouvement de grève depuis le 10 décembre. Le syndicat UTG de l’établissement dénonce la non application de points déjà négociés lors du changement de statut en 2017, quand l'hôpital est passé du domaine privé au public.
Les négociations entre les grévistes et la direction ont commencé le 11 novembre au Centre hospitalier de Kourou. Les grévistes ont même demandé la médiation de l'Agence régionale de la Santé.
Il faut rappeler que les revendications portent essentiellement sur la prise en compte de l'ancienneté des agents du CMCK gouverné par la Croix Rouge passés dans la fonction publique, sur le paiement des astreintes et les conditions de travail. Des dispositions actées à l'issue du mouvement social de mars avril 2017.
Si les négociations ont pu avancées sur certains plans, notamment sur l'organisation du travail, l'amélioration de certains locaux, les conditions de travail parce qu'elles relèvent de la direction régionale, elles continuent d'achopper sur d'autres plans.
Ainsi que le souligne le directeur du CHK,Christophe Robert, il y a deux points soumis à la réglementation nationale sur lesquels il ne peut intervenir : les conditions d'intégration dans la fonction publique et le régime des astreintes.
Les grévistes veulent obtenir que le personnel soit reclassé à un échelon qui prennent en compte la totalité de leurs services acquise avec les services de la Croix Rouge. Selon le directeur du CHK, les règles de reprise d'ancienneté dans la fonction publique ne tiennent pas compte de toutes les années effectuées dans le privé.
A ce stade, l'activité de l'hôpital se trouve ralentie. Après 4 jours de grève, un service minimum est assuré pour les usagers, les activités planifiées ont été reportées.
Le reportage de Guyane la 1ère
Il faut rappeler que les revendications portent essentiellement sur la prise en compte de l'ancienneté des agents du CMCK gouverné par la Croix Rouge passés dans la fonction publique, sur le paiement des astreintes et les conditions de travail. Des dispositions actées à l'issue du mouvement social de mars avril 2017.
Deux points d'achoppement
Si les négociations ont pu avancées sur certains plans, notamment sur l'organisation du travail, l'amélioration de certains locaux, les conditions de travail parce qu'elles relèvent de la direction régionale, elles continuent d'achopper sur d'autres plans.Ainsi que le souligne le directeur du CHK,Christophe Robert, il y a deux points soumis à la réglementation nationale sur lesquels il ne peut intervenir : les conditions d'intégration dans la fonction publique et le régime des astreintes.
Les grévistes veulent obtenir que le personnel soit reclassé à un échelon qui prennent en compte la totalité de leurs services acquise avec les services de la Croix Rouge. Selon le directeur du CHK, les règles de reprise d'ancienneté dans la fonction publique ne tiennent pas compte de toutes les années effectuées dans le privé.
A ce stade, l'activité de l'hôpital se trouve ralentie. Après 4 jours de grève, un service minimum est assuré pour les usagers, les activités planifiées ont été reportées.
Le reportage de Guyane la 1ère
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