Alexie Causse, future étudiante en criminologie à l'université de Montréal

Bientôt 18 ans et titulaire de son bac L mention très bien, Alexie Causse s'apprête à s'envoler pour le Canada. Inscrite à l'université de Montréal, elle va étudier la criminologie. Un choix logique pour une jeune fille passionnée par la psychologie criminelle depuis l'enfance. 
Souriante, féminine, Alexie Causse, ancienne lycéenne de l'externat Saint-Joseph à Cayenne, vient d'obtenir son bac littéraire avec la mention très bien. La jeune cayennaise est prête à aborder son cursus universitaire. Elle va poursuivre ses études au Canada à Montréal. Elle souhaite devenir criminologue.


Un choix mûrement réfléchi 

Férue de séries et lectures policières depuis son jeune âge, passionnée par les mécanismes psychologiques qui conduisent à la criminalité, elle a fait le choix d'une filière qui est proposée à l'école de criminologie de l'université de Montréal.
Elle n'a pas eu trop de difficultés à obtenir l'approbation de ses parents. Elle a nourri sa passion en regardant films et séries avec son père et sa grand-mère et même si sa mère, plus réticente, trouvait ce choix un peu "gore", elle s'y est résolue. 
Dans son entourage, certains de ces camarades ont été étonnés par cette orientation, car Alexie a été miss Interlycées en 2016 et aime aussi la mode. Comme elle le dit :

" c'est loin du glamour et vraiment différent mais j'aime toucher à tout et c'est moi aussi"

Alexie a la double nationalité franco canadienne par sa mère, elle connaît donc bien Montréal où elle a de la famille et déjà des amis. L'étudiante va faire son "mineure" les 3 années obligatoires avec un axe particulier sur le droit, la psychologie et ensuite des options pour achever le cursus en criminologie.


Couper le cordon familial

A l'issue du premier corpus théorique, elle choisira alors véritablement sa voie, criminologue, profiler ou psychologue. La jeune fille table sur sa capacité à écouter, à démêler des situations complexes pour parvenir à ses fins et bien entendu sur sa capacité à travailler.
Comme tous les jeunes qui doivent quitter le cocon familial, Alexie appréhende un peu ce grand saut. Son jumeau reste à Cayenne, elle va devoir se débrouiller seule dans un environnement bien différent mais se sent prête à affronter sa nouvelle vie.