Ariane 6 devient petit à petit une réalité outre les essais de moteur et la production du lanceur en Europe. En Guyane, les travaux du chantier situé à Karouabo entre Kourou et Sinnamary avancent à grands pas
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Sur le chantier de la zone de lancement du futur lanceur Ariane 6, le ballet des engins est incessant. Débuté en juin 2015, 30 mois plus tard, on distingue clairement la fosse et la sortie des carneaux. Mais aussi la construction du bâtiment d’assemblage lanceur. Petit à petit les éléments sortent de terre.
De nouveaux éléments arrivent d’Europe. Après ceux du portique mobile, une protection de 90 m de haut pesant 8500 tonnes soit l’équivalent de la Tour Eiffel, c’est au tour de la table et de son mat où sera érigée Ariane 6 d’être transférés sur le site.
Constituée d’une vingtaine d’éléments, une fois assemblée, la table pèsera 1000 tonnes, il faudra glisser le tout au milieu de la zone d'accueil. Pour l’heure le génie civil voit se multiplier d’autres activités, mais globalement les travaux ont un bon rythme de progression.
En ce mois de janvier 2018 environ 500 travailleurs se côtoient sur le chantier. Le pic devrait culminer à 650 personnes.
Le premier vol d’Ariane 6 est programmé pour le 16 juillet 2020.
De nouveaux éléments arrivent d’Europe. Après ceux du portique mobile, une protection de 90 m de haut pesant 8500 tonnes soit l’équivalent de la Tour Eiffel, c’est au tour de la table et de son mat où sera érigée Ariane 6 d’être transférés sur le site.
Constituée d’une vingtaine d’éléments, une fois assemblée, la table pèsera 1000 tonnes, il faudra glisser le tout au milieu de la zone d'accueil. Pour l’heure le génie civil voit se multiplier d’autres activités, mais globalement les travaux ont un bon rythme de progression.
En ce mois de janvier 2018 environ 500 travailleurs se côtoient sur le chantier. Le pic devrait culminer à 650 personnes.
Le premier vol d’Ariane 6 est programmé pour le 16 juillet 2020.