Au Brésil, en Amapa, les graines de wassaï n'en finissent pas d'être recyclées. Un laboratoire de recherche a mis au point une technique qui permet d'obtenir une sorte de résine à partir du concassage des résidus de wassaï. Elle sert à réaliser des assises de sièges et de bancs pour les écoliers.
Il fallait y penser, recycler les graines du palmier wassaï jetées dans la rue dans les villages de l'île de Marajo dans le Para. De polluants ces résidus de graines ont acquis une fonction utilitaire. Le job a été confié à l'unité de technologie de l'université du Parà à Belem.
La technique de transformation a été mise au point par le docteur Carmelita Fatima Amaral Ribeiro et Joseane Gonçalves Rabelo aidées d'un technicien de laboratoire.
En observant l'accumulation des déchets de wassaï dans les rues de Marajoara qui entraînaient une pollution olfactive et visuelle, les deux femmes ont eu l'idée de travailler à leur recyclage.
Les graines du palmier ont été broyées, lavées, séchées sur un cycle de 30 jours puis pressées et façonnées avec de la colle blanche. Le processus a produit un conglomérat correspondant à l'épaisseur d'une assise suffisamment confortable et solide pour être utilisée au quotidien.
Finalement, le matériau a permis de fabriquer des tables, des chaises, des bibliothèques et même des cadres de portes pouvant remplacer le mobilier scolaire vieux ou brisé. Ils sont utilisés dans les villages très pauvre de l'île de Marajo qui n'avaient pas le moyens de renouveler le mobilier de leurs écoles.
Une utilisation qui pourrait être généralisée ailleurs au Brésil et en Amazonie où la graine du wassaï est cultivée et consommée.
La technique de transformation a été mise au point par le docteur Carmelita Fatima Amaral Ribeiro et Joseane Gonçalves Rabelo aidées d'un technicien de laboratoire.
En observant l'accumulation des déchets de wassaï dans les rues de Marajoara qui entraînaient une pollution olfactive et visuelle, les deux femmes ont eu l'idée de travailler à leur recyclage.
Les graines du palmier ont été broyées, lavées, séchées sur un cycle de 30 jours puis pressées et façonnées avec de la colle blanche. Le processus a produit un conglomérat correspondant à l'épaisseur d'une assise suffisamment confortable et solide pour être utilisée au quotidien.
Finalement, le matériau a permis de fabriquer des tables, des chaises, des bibliothèques et même des cadres de portes pouvant remplacer le mobilier scolaire vieux ou brisé. Ils sont utilisés dans les villages très pauvre de l'île de Marajo qui n'avaient pas le moyens de renouveler le mobilier de leurs écoles.
Une utilisation qui pourrait être généralisée ailleurs au Brésil et en Amazonie où la graine du wassaï est cultivée et consommée.