Le premier tour des élections générales se tiendra le 7 octobre au Brésil. Les Brésiliens doivent élire le président, les gouverneurs des Etats, les députés fédéraux, deux tiers du Sénat et les députés des Etats Fédérés. Des élections que les observateurs qualifient de « surréaliste ».
147 millions d’électeurs sont attendus aux urnes pour les élections générales. Ces scrutins doivent désigner l’ensemble des nouveaux élus des institutions brésiliennes. Tous les regards sont cependant tournés vers l’élection présidentielle. Qui succédera à Michel Temer, à la tête du pays depuis la destitution de Dilma Rousseff en 2016 ?
Une élection dont la campagne bat actuellement son plein. Selon un sondage publié lundi 24 septembre, le candidat de gauche Fernando Haddad bat pour la première fois le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro au 2ème tour. De plus, près de 30 % de l’électorat se révèlent indécis.
Fernando Haddad a été désigné récemment par Ignacio Lula da Silva et le Parti Travailliste. Depuis sa prison, le mois dernier, Lula avait annoncé sa candidature. Le Tribunal supérieur électoral a dû déclarer son inégibilité pour l'empêcher de se présenter. Fernando Haddad ancien maire de Sao Paulo a été alors désigné colistier de Lula par le PT ( parti travailliste) qui a déclaré défendre quoiqu’il arrive l’ex-président.
Jair Bolsonaro lui, est le principal opposant à Lula. Cet ancien capitaine de l’armée connu pour ses positions d’extrême droite a séduit une partie du milieu affairiste.
D’autres candidats se font entendre : Géraldo Alckmin l’ex gouverneur de Sao Paulo, très apprécié par les milieux riches. Enfin, Marina Silva, du parti des Verts, soutenue par la communauté chrétienne.
Au total, ce sont huit candidats qui ont fait acte de candidature. Une liste qui fluctue en fonction des abandons presque quotidiens.
Une campagne qui multiplie les actions d’éclat et les rebondissements. Le peuple lui, n’en peut plus de ces batailles pour le pouvoir. Le pays va mal : la violence est extrême, la corruption gangrène tous les services de l’Etat, chômage en hausse et crise budgétaire, rien ne va plus. Le Brésil est pourtant la huitième puissance mondiale.
La population demande du changement et le renouvellement de la classe politique. Réponse le 28 octobre date du deuxième tour des différents scrutins.
Dernier sondage
Une élection dont la campagne bat actuellement son plein. Selon un sondage publié lundi 24 septembre, le candidat de gauche Fernando Haddad bat pour la première fois le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro au 2ème tour. De plus, près de 30 % de l’électorat se révèlent indécis.Fernando Haddad a été désigné récemment par Ignacio Lula da Silva et le Parti Travailliste. Depuis sa prison, le mois dernier, Lula avait annoncé sa candidature. Le Tribunal supérieur électoral a dû déclarer son inégibilité pour l'empêcher de se présenter. Fernando Haddad ancien maire de Sao Paulo a été alors désigné colistier de Lula par le PT ( parti travailliste) qui a déclaré défendre quoiqu’il arrive l’ex-président.
Jair Bolsonaro lui, est le principal opposant à Lula. Cet ancien capitaine de l’armée connu pour ses positions d’extrême droite a séduit une partie du milieu affairiste.
D’autres candidats se font entendre : Géraldo Alckmin l’ex gouverneur de Sao Paulo, très apprécié par les milieux riches. Enfin, Marina Silva, du parti des Verts, soutenue par la communauté chrétienne.
Au total, ce sont huit candidats qui ont fait acte de candidature. Une liste qui fluctue en fonction des abandons presque quotidiens.
Fin du suspens électoral le 28 octobre
Une campagne qui multiplie les actions d’éclat et les rebondissements. Le peuple lui, n’en peut plus de ces batailles pour le pouvoir. Le pays va mal : la violence est extrême, la corruption gangrène tous les services de l’Etat, chômage en hausse et crise budgétaire, rien ne va plus. Le Brésil est pourtant la huitième puissance mondiale.La population demande du changement et le renouvellement de la classe politique. Réponse le 28 octobre date du deuxième tour des différents scrutins.