Le poids de la crise sanitaire Covid pèse très lourd sur l'économie de l'état de l'Amapa. A Macapa, la capitale fédérale, le maire Clécio Luis a décidé de dessérer l'étreinte sanitaire et d'autoriser progressivement la reprise des activités économiques. Certains secteurs vont devoir encore attendre.
L'activité économique dans la capitale amapaense reprend officiellement ce 16 juin mais sous conditions. Clécio Luis, le maire, a signé l'arrêté hier. Il a précisé que cette première étape de déconfinement ne devait pas empêcher que la population continue d'observer les régles d'isolement qui sont essentielles pour enrayer la propagation du coronavirus.
Cet arrêté précise les mesures à respecter pour la quinzaine à venir car, comme partout ailleurs, certaines activités ne sont pas encore autorisées.
Des drapeaux de couleurs permettent de différencier les activités et les règles autorisées.
En jaune, toutes les activités qui n'ont jamais cessé et qui relèvent de la survie publique comme les établissements sanitaires et bancaires.
En orange, les livraisons, services au volant, express, planification et présence avec restrictions et recommandations. Les offices religieux peuvent également reprendre sous cette bannière dans le respect des quatre mètres carrés et un maximum de cinquante personnes. Les hôtels doivent prévoir l'installation d'éviers à l'entrée des établissements, l'espacement social d'un mètre et demi et l'utilisation des équipements de protection individuelle.
En rouge tous les établissements de restauration rapide qui restent fermés et doivent continuer à fonctionner par les livraisons.
En noir on retrouve les établissements culturels tels les cinémas, théâtres, discothèques, bars...
Le port du masque est obligatoire dans tous les établissements et aires publics. La circulation est strictement réglementée sous le régime impair ou pair des plaques d'immatriculation hormis pour les véhicules des professionnels de la santé, de la sécurité, de la protection civile ou à usage officiel.
Macapa recueille le plus grand nombre de cas : 6 948 et oiapoqué, la ville frontalière avec la Guyane 927 avec 7 personnes décédées.
Cet arrêté précise les mesures à respecter pour la quinzaine à venir car, comme partout ailleurs, certaines activités ne sont pas encore autorisées.
Une sectorisation économique différenciée par des drapeaux de différentes couleurs
Des drapeaux de couleurs permettent de différencier les activités et les règles autorisées.En jaune, toutes les activités qui n'ont jamais cessé et qui relèvent de la survie publique comme les établissements sanitaires et bancaires.
En orange, les livraisons, services au volant, express, planification et présence avec restrictions et recommandations. Les offices religieux peuvent également reprendre sous cette bannière dans le respect des quatre mètres carrés et un maximum de cinquante personnes. Les hôtels doivent prévoir l'installation d'éviers à l'entrée des établissements, l'espacement social d'un mètre et demi et l'utilisation des équipements de protection individuelle.
En rouge tous les établissements de restauration rapide qui restent fermés et doivent continuer à fonctionner par les livraisons.
En noir on retrouve les établissements culturels tels les cinémas, théâtres, discothèques, bars...
Le port du masque est obligatoire dans tous les établissements et aires publics. La circulation est strictement réglementée sous le régime impair ou pair des plaques d'immatriculation hormis pour les véhicules des professionnels de la santé, de la sécurité, de la protection civile ou à usage officiel.
Les chiffres du 15 juin du coronavirus en Amapa
Ce 15 juin il y avait 16 813 cas confirmés sur l'ensemble du territoire avec 10 601 en analyse de laboratoire et 329 décès dans 15 municipalités désormais. 7 460 personnes ont guéri.Macapa recueille le plus grand nombre de cas : 6 948 et oiapoqué, la ville frontalière avec la Guyane 927 avec 7 personnes décédées.