Christiane Constantin consacre une grande partie de sa vie à la préservation de la plage de Bourda, à Cayenne. Equipée d'un sac poubelle et d'une pince, elle traque les déchets sur cette portion du littoral guyanais.
•
Munie de son inséparable pince, Christiane Constantin, dite Jojo, ne va pas à la plage pour ramasser des coquillages.
Elle traque les déchets, et rien ne semble pouvoir l’arrêter, y compris en période de restriction.
Cette chasse quotidienne sur la plage de Bourda à Cayenne est devenue incontournable pour Christiane.
A 65 ans, elle revendique cet engagement comme un acte écologique individuel, loin de tout militantisme politique.
Ceux qui fréquentent régulièrement la plage la connaissent. Et son exemple semble convaincre.
A force de fouler le sable et de longer les vagues, Christiane Constantin se fond dans l’environnement marin. A tel point qu’elle ne s’habille qu’en bleu depuis le début de l’année.
A la fin de sa marche, les détritus ramassés finissent toujours dans cette poubelle. D’autres s’accumuleront jusqu’au lendemain sur le sable, jusqu’au retour de Christiane.
Elle traque les déchets, et rien ne semble pouvoir l’arrêter, y compris en période de restriction.
« Pendant le confinement » à « j’ai fait le sport ! »
Cette chasse quotidienne sur la plage de Bourda à Cayenne est devenue incontournable pour Christiane.
A 65 ans, elle revendique cet engagement comme un acte écologique individuel, loin de tout militantisme politique.
« J’aurais aimé que les gens soient plus attentifs » à « que ce soit propre, c’est tout »
Ceux qui fréquentent régulièrement la plage la connaissent. Et son exemple semble convaincre.
« Il faut continuer à parler aux gens » à « c’est l’affaire d’une collectivité »
A force de fouler le sable et de longer les vagues, Christiane Constantin se fond dans l’environnement marin. A tel point qu’elle ne s’habille qu’en bleu depuis le début de l’année.
« C’est vrai qu’il y a un monsieur qui marche tout le temps, il me dit Christiane la mer est bleue… » à « mais je mets en bleu »
A la fin de sa marche, les détritus ramassés finissent toujours dans cette poubelle. D’autres s’accumuleront jusqu’au lendemain sur le sable, jusqu’au retour de Christiane.
Christiane Constantin explique ses motivations au micro de Céline Fleuzin.