Le salon du livre international de la Guyane offre l’occasion aux auteurs de rencontrer les scolaires en matinée. Ainsi, Christiane Taubira était au lycée Félix Eboué à Cayenne pour l’une de ces rencontres avec les jeunes qu’elle apprécie tant.
Clotilde Séraphins George/MCT •
Le salon du livre international de la Guyane offre l’occasion aux auteurs de rencontrer les scolaires en matinée. Ainsi, Christiane Taubira était au lycée Félix Eboué à Cayenne pour l’une de ces rencontres avec les jeunes qu’elle apprécie tant. L’auteure de nuit d’épine, son dernier ouvrage, s’est livrée avec bonheur au jeu du questions-réponses dans la grande spontanéité qui la caractérise.
"J'ai deux principes : le premier c'est d'être claire, le deuxième c'est d'être franche, c'est éviter les ambiguités, les malentendus et je ne triche pas. Le verbe est transformateur, la parole doit servir, soit servir à clarifier, soit servir à établir une relation, ou à mobiliser des énergies. La parole est transformatrice, elle donne lieu à des actes."