La préfecture de Guyane entend détruire une fois par mois des bidonvilles. C'est dans ce contexte qu'une nouvelle démolition a eu lieu ce matin à Cayenne. Le quartier informel « Marengo » situé zone Collery à Cayenne était occupé par une trentaine de personnes en situation irrégulière.
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Des images qui sont aujourd’hui devenues presque ordinaire en Guyane., les effectifs de la police et de la gendarmerie bouclant une zone où se déroule une nouvelle démolition d'un bidonville.
Cette fois, c’est dans le secteur de la zone industrielle de Collery à Cayenne que la préfecture a mené l’opération. Sur le site plus aucun occupant. Les habitants ont fuit en ayant récupéré tout ce qui pouvait l’être. Une trentaine de personnes résidaient
La plupart d’origine Haitienne et beaucoup d’entre eux clandestins .La police aux frontières avaient mené une opération de contrôle dans ce quartier il y a quelques jours précise Daniel Fermon Directeur sous-préfet, directeur général de la sécurité, la réglementation et le contrôle :
... ces personnes sont parties avant où ont été interpellées par les services de l'état. Aujourd'hui, il n'y a plus personne sur site donc les opérations de démolition vont pouvoir se passer sans difficulté... l'objectif est de s'assurer que le phénomène d'habitat insalubre puisse être endigué progressivement...
Depuis septembre 2019, les démolitions de squats se succèdent au rythme d'une évacuation par mois. Déjà plus d’un millier de personnes ont été délogées et de nombreux terrains rendus à leurs propriétaires. Pour ce terrain privé, aprés la plainte du propriétaire, la décision de justice avait été rendue en 2017. Trois ans plus tard, le tractopelle est passé.
Les occupants ont libéré les lieux la veille
Cette fois, c’est dans le secteur de la zone industrielle de Collery à Cayenne que la préfecture a mené l’opération. Sur le site plus aucun occupant. Les habitants ont fuit en ayant récupéré tout ce qui pouvait l’être. Une trentaine de personnes résidaient La plupart d’origine Haitienne et beaucoup d’entre eux clandestins .La police aux frontières avaient mené une opération de contrôle dans ce quartier il y a quelques jours précise Daniel Fermon Directeur sous-préfet, directeur général de la sécurité, la réglementation et le contrôle :
... ces personnes sont parties avant où ont été interpellées par les services de l'état. Aujourd'hui, il n'y a plus personne sur site donc les opérations de démolition vont pouvoir se passer sans difficulté... l'objectif est de s'assurer que le phénomène d'habitat insalubre puisse être endigué progressivement...
Depuis septembre 2019, les démolitions de squats se succèdent au rythme d'une évacuation par mois. Déjà plus d’un millier de personnes ont été délogées et de nombreux terrains rendus à leurs propriétaires. Pour ce terrain privé, aprés la plainte du propriétaire, la décision de justice avait été rendue en 2017. Trois ans plus tard, le tractopelle est passé.